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dimanche 19 novembre 2023
HISTOIRE et MEMOIRE avec RETRONEWS - Napoléon, d'Arcole à Sainte-Hélène -Dimanche 19 novembre 2023
HISTOIRE et MEMOIRE
Figure honnie par les uns, adulée par les autres, Napoléon ne laisse pas d'attiser les passions et son histoire – jusqu'à aujourd'hui – a fait l'objet d'innombrables mises en récits. Qu'en fut-il dans la presse ? Et comment les journaux, contemporains ou ultérieurs, ont-ils contribué à faire de Bonaparte l'empereur Napoléon Ier ?
— « J'aurais fait beaucoup »
GRANDS ARTICLES
• Un entretien avec Napoléon, empereur déchu, à l’île d’Elbe
En 1886, alors que la France semble en avoir définitivement fini avec la famille Bonaparte, Le Constitutionnel publie une archive ahurissante tirée d’un temps pas si lointain : l’interview politique d’un Napoléon « retiré » quelques mois avant les Cent jours.
Gazette nationale ou Le Moniteur universel 10 novembre 1799
10 novembre 1799. Au lendemain du coup d'État du 18 brumaire qui a vu Bonaparte devenir le nouvel homme fort d'une République chancelante, la Gazette nationale reproduit, en Une, la proclamation du général, avant de publier un « dialogue » entre deux membres respectifs du Conseil des Anciens et de celui des Cinq-Cents. Un dialogue qui met en scène la crainte de l'un face à un pouvoir qu'il pressent tyrannique et l'engouement de l'autre pour un tournant nécessaire et heureux.
• « Napoléon pensait que son pouvoir ne pouvait reposer que sur la force »
Le politologue Gérard Grunberg revient sur le souvenir laissé par Bonaparte dans le roman national français, et le compare avec la réalité du règne guerrier de celui que l’on a fini par appeler « l’Ogre ».
• Rêves d’une nation-continent : l’Europe napoléonienne
Héritière de l’Europe des républiques sœurs du Directoire, l’Europe napoléonienne atteint son apogée en 1810-1811. Elle donne lieu à une mosaïque de transferts plus ou moins aboutis du modèle français et à une volonté d’intégration dynastique des Bonaparte.
• Le début de la fin : la campagne de Russie, chant du cygne de Napoléon
Débutée en juin 1812, la campagne de Russie achevée à la mi-décembre constitua, malgré les effectifs engagés, une catastrophe pour l’armée napoléonienne en butte tant à d’énormes problèmes logistiques qu’à la résistance des troupes russes.
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