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mercredi 3 novembre 2021
La santé avec Santé non censurée - Le traitement miracle de l’hippodrome de Golden Gate
La santé
Le traitement miracle de l’hippodrome de Golden Gate
Chère lectrice, cher lecteur,
Le Professeur Raoult nous l’expliquait clairement en février 2020 : “Ce n’est pas la peine de s’exciter, il faut travailler, voir les molécules potentiellement actives et qui sont immédiatement disponibles sur le marché1.”
Autrement dit, il conseillait aux chercheurs de se tourner vers des médicaments déjà existants, comme l’hydroxychloroquine ou l'ivermectine, pour trouver un traitement contre le virus. Cette méthode présente l’avantage de partir de molécules dont la toxicité est connue, et sur lesquelles on a du recul, plutôt que de partir à la chasse d’un tout nouveau remède médicamenteux, aux effets forcément inconnus.
Presque 2 ans plus tard, après nous avoir vendu des vaccins comme la solution à tous nos problèmes, “les petits génies” de Big Pharma se décident enfin à appliquer cette méthode de bon sens...
Résultat, je vous l’annonçais dans l’une de mes lettres, l’arrivée imminente sur le marché français de 50’000 doses de Molnupiravir2, ou le “Mal du pire à venir” pour les intimes.
Alors certes, il s’agit effectivement d’une ancienne molécule, connue depuis près de 40 ans3, et immédiatement disponible, comme le proposait le Pr Raoult.
Sauf que parmi toutes les molécules disponibles, il fallait que le laboratoire Merck choisisse celle qui pose de nombreux problèmes. Rappelons-le, depuis des années, de nombreux chercheurs craignent le Molnupiravir pour les potentielles mutations génétiques qu’il peut engendrer4...
À l’annonce des résultats des études de Merck, les médias se sont empressés de s’emparer du sujet, pour l’encenser sans retenue.
Pourtant, au lieu de jouer encore une nouvelle fois au VRP des géants pharmaceutiques, les médias feraient bien mieux de s’intéresser à une autre molécule potentiellement anti-covid.
Elle est tout aussi ancienne que le “Mal du Pire à venir” mais elle est moins dangereuse et probablement plus efficace.
Il s’agit de la fluvoxamine.
La fluvo quoi !?
Inconnue au bataillon ? C’est normal, la presse reste silencieuse à son sujet malgré son étonnante efficacité.
Initialement, la fluvoxamine est utilisée comme antidépresseur, destiné à traiter des épisodes dépressifs ou encore des troubles obsessionnels compulsifs5.
Je vous vois froncer les sourcils. Moi aussi, je l’avoue, j’étais sceptique en entendant parler de cette molécule pour la première fois. Mon discours était d’ailleurs tout prêt : “D’abord il nous propose un médicament qui risque de nous refiler des cancers, et maintenant une nouvelle pilule pour nous transformer en chou-fleur ! C’est quoi la suite ?”
Jusqu'à ce que je tombe sur un interview de Steve Kirsch, businessman et entrepreneur américain6.
Aucun effet secondaire, aucun impact sur le mental, aucun symptôme de Covid-long
Au début de la pandémie, ce “serial entrepreneur” a décidé de financer plusieurs recherches pour développer un traitement précoce au Covid7.
Ces recherches ciblaient des molécules déjà existantes, comme l’avait proposé Raoult, et non une nouvelle combinaison miracle, à la manière des vaccins.
Parmi elles, la fluvoxamine s’est rapidement détachée du lot. Un médicament présent sur le marché depuis 37 ans et sans aucun décès à son actif8. Selon Kirsch, toutes les études menées à son sujet se sont révélées positives9.
A tel point que lorsque l’épidémie a frappé de plein fouet l’hippodrome de Golden Gate Field, à Berkeley, en Californie10, le Dr Seftel, n’a pas hésité à faire le choix de la fluvoxamine pour traiter les nombreux cas positifs11.
Pour rappel, plus de 200 personnes, vivant ou travaillant sur place (toiletteurs, palefreniers, entraîneurs,...) avaient été diagnostiquées positives au Covid12.
77 employés ont choisi de prendre la molécule sous forme de médicament (50 mg) pendant 2 semaines, 2 fois par jour.
Aucun effet secondaire, aucun impact sur le mental, aucun symptôme de Covid long n’ont été détectés après ces 2 semaines, ni 5 mois plus tard chez ceux qui avaient accepté de prendre la fluvoxamine.
Cette histoire me paraissait tout droit sortie d’un script de série américaine. J’ai donc choisi d’enquêter à mon tour…
Un script de série américaine, et pourtant...
Et j’ai pu constater que de nombreuses recherches avaient déjà eu lieu concernant cette molécule :
Novembre 2020, des chercheurs de l'Université de Washington publient les résultats de leur recherche sur la fluvoxamine dans la célèbre revue JAMA (Journal of the American Medical Association)13.
152 patients atteints de Covid ont été sélectionnés pour cette étude et divisés en deux groupes, traités soit par la fluvoxamine, soit par un placebo. Au bout de 15 jours, 6 patients traités par placebo ont vu leur état de santé se détériorer contre 0 pour le groupe traité à la fluvoxamine.
Février 2021, les chiffres issus de l’incident à l’hippodrome de Berkeley sont enfin publiés14.
113 des personnes présentes à l’hippodrome se sont révélées positives au Covid. Parmi elles, 65 ont alors fait le choix de suivre un traitement de fluvoxamine, tandis que les 48 autres restantes ont préféré rester en observation, sans traitement.
Au bout de deux semaines de traitement, aucune hospitalisation n’était à déplorer dans le premier groupe, contre 6 dans le second groupe. Deux patients ont été placés sous respirateur et un troisième est mort. Pareillement, le premier groupe n’avait plus aucun symptôme, tandis que 60% du second groupe les présentaient encore.
Avril 2021, la fluvoxamine est ajoutée au panel des lignes directrices sur le Covid-19 des Instituts nationaux de la santé (NIH) aux USA15.
Octobre 2021, l’étude TOGETHER publie ses résultats dans The Lancet16.
Menée sur tout le territoire brésilien, cette recherche a investigué plusieurs molécules dont l'ivermectine, l’hydroxychloroquine, la metformine ou encore la fluvoxamine contre un placebo17.
“La fluvoxamine se détache nettement du peloton”
Alors que la metformine et l’ivermectine ont obtenu de bons résultats, la fluvoxamine s’est révélée encore plus prometteuse en diminuant le risque de progression de la maladie de 29 %19 !
Pour l’heure, il s’agit de la plus grosse étude menée sur la fluvoxamine. Mais une autre recherche de grande ampleur (1100 participants) est actuellement en cours et viendra prochainement étayer ces résultats20.
Parallèlement à ces bons résultats, la fluvoxamine possède un autre atout indéniable, son efficacité contre les symptômes du Covid long.
“L’une des raisons pour laquelle la fluvoxamine est efficace contre le Covid long est que beaucoup de ces symptômes du Covid long sont dans le cerveau, et les médicaments classiques ne pénètrent pas la barrière hémato-encéphalique, mais la fluvoxamine le fait.” révélait Steve Kirsch dans son interview21.
Car la fluvoxamine est un antidépresseur. Mais c’est aussi avant tout un anti-inflammatoire puissant, également utilisé en cas de septicémie22 !
Or les symptômes du Covid long (fatigue, douleurs articulaires, problèmes respiratoires, troubles psychiatriques,..) sont justement dus à l’inflammation de plusieurs organes d'où la longue durée du phénomène23.
“Et donc ce que fait la fluvoxamine c’est de déclencher le mécanisme anti-inflammatoire qui maintient l’inflammation à un niveau bas et ça empêche l’inflammation d’atteindre le cerveau24.”
Mais alors, si la fluvoxamine semble aussi prometteuse, pourquoi n’en parle-t-on pas ? Pourquoi avoir laissé le Molnupiravir inonder le marché à la place ?
L’argent… Encore et toujours l’argent
Comme l’expliquait le Dr Boulware il y a quelques jours sur CNN : la fluvoxamine, l’ivermectine, “ce sont des médicaments génériques, il n’y a pas de brevet sur eux et ils sont vraiment peu coûteux25”.
Et c’est bien là tout le problème !
Sous le couvert de “manquer de données” concernant la fluvoxamine, Big Pharma a préféré se tourner vers une autre molécule, plus dangereuse, dont les essais - rappelons-le ont été écourtés - mais surtout plus chère.
700 dollars la boîte contre 4 dollars seulement pour la fluvoxamine26 !
C’est à se demander si cette nouvelle molécule n’est pas maintenue dans l’ombre car elle ne rapporterait pas assez aux entreprises pharmaceutiques, non ?
Prenez soin de vous,
Thibaud de Santé Non Censurée
P.S. : Si le fluvoxamine est la solution, n’est-il pas criminel de laisser le Molnupiravir inonder le marché en France ? Cliquez ICI pour réagir.
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