La jeunesse abandonnée, celle qui gratte à la porte des services sociaux pour grailler un peu, est calée dans quelques discours dès qu’il s’agit de faire de l’électoralisme. Je vous parle ici des jeunes quasi illettrés, des pauvres, des mal sapés, des à la rue, des psychologiquement affaiblis, des jeunes migrants, des jeunes sans espoir, des jeunes qui pensent à l’avenir et angoissent, des jeunes à la ramasse... Invisibles, oubliés. |
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