Si cette épidémie doit durer, nous devons faire ce que nous n’avons aucunement fait depuis maintenant un an : apprendre à vivre avec, plutôt que de nous figer à intervalles réguliers en espérant en finir rapidement. Nous donner enfin les moyens de développer un système de santé qui ne risque pas la saturation.
Ne pas choisir, c’est en fait choisir la mort. Celle d’une civilisation occidentale incapable de gérer ses contradictions.
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