Je peux dire sans trop mentir que j’ai non seulement eu une enfance mais aussi une adolescence heureuse. J’ai grandi dans une famille vivante, présente et ouverte. La mort est restée à distance de mes proches, j’ai été entourée, aimée, j’ai toujours évolué dans des milieux égalitaires… Pourtant, aujourd’hui, certains de mes souvenirs me dérangent. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire