Il faut avouer que le positionnement des sénateurs est proprement ahurissant dans un pays où on fait tout pour se débarrasser de notre parc nucléaire, où l’on est en train d’inventer de la taxe verte à tour de bras et de cuisantes vexations pour tous les consommateurs qui osent niaisement essayer de vivre heureux au lieu de se terrer dans des grottes classe thermique A climatisées à 13°C…
Et pour rappel, ces flagellations sénatoriales forcenées sur les Français sont mises en place pour
tenter de réduire les émissions de CO2 liées au numérique en France, soit 2% de toutes les émissions françaises alors même que
celles-ci ne représentent péniblement que 0.9% du total des émissions humaines dans le monde…
Très concrètement, les sénateurs veulent donc taxer les Français et contraindre encore une fois leurs habitudes de consommation pour
tenter de réduire
un peu ces 0.0018% d’émissions de CO2 que le numérique français représente dans le monde… Oui, vous avez bien lu, il s’agit de
moins de 2 millièmes de pourcent des émissions humaines de CO2.
Au moment même où le pays explose les 120% de dette par rapport à son PIB, où on compte très officiellement plus de
6 millions de chômeurs, où la vague de faillites n’en est qu’aux premiers frémissements, au moment où la misère se répand sur tout le territoire, le Sénat, complètement fou, tente coûte que coûte de jouer sur deux millièmes de pourcent des émissions de CO2.
C’était indispensable, évidemment.
Cet expert en technologie sonne l'alerte
|
|
|
Vous voulez investir dans des actions à la croissance exponentielle ?
Cet investisseur a publié une liste de fusées boursières qui bénéficient des grandes révolutions technologiques de demain.
À la clé, des plus-values qui pourraient dépasser les 1 000 %.
|
|
|
|
|
Et puis au delà de l’aspect complètement crétin de ces distributions compulsives de taxes, d’interdictions et de bisous ambigus, on doit absolument se demander pourquoi la France, par son Sénat, choisit ainsi de vouloir
« ralentir la croissance des usages sur internet » alors que tout le reste de l’Humanité s’emploie à faire exactement le contraire…
Encore une fois, on assiste, hébété devant tant d’idiotie, à ce positionnement grotesque qui feint de croire que les Français ont raison contre tout le reste du monde et pour des motivations d’une futilité consternante (deux millièmes de pourcent, les enfants, de la dentelle microscopique !).
Apparemment, il semble indispensable pour la politicaillerie française de – littéralement – rendre les échanges d’informations plus pénibles, plus mous, plus lents et plus chers dans le pays : des milliers d’années d’Histoire et des décennies de théories de l’information jetées aux orties pour feindre de sauver les ours polaires (même pas en danger).
Mais qu’est-ce que vous voulez aussi ? Disposer d’un pays qui tente de conserver son rang dans le concert des nations, qui donne à son peuple de quoi se battre dans les guerres commerciales et informationnelles qui se pointent, qui crée de la valeur, de la richesse, des emplois, ou vous préférez un État obèse, surtaxant tout ce qui bouge et qui entraîne tout son peuple dans l’abîme du chômage, de la misère et du collectivisme ?
Pour le Sénat, je crois la question elle est vite répondute…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire