Vingt députés de la majorité dénoncent un regain de violence dans une tribune publiée mardi sur le site de franceinfo, après une nouvelle série de dégradations. « En lieu et place on voit nos permanences murées, cassées, les députés dénoncés sur tel ou tel réseau social parce qu’ils auraient mal voté, certains ont eu leur domicile visité et même incendié », s’indignent les parlementaires.
Lundi soir, un local à Foix a été tagué avec des « messages antitout, anti-police, antisystème, anti-LREM » selon le référent départemental du mouvement. Cet incident s’ajoute à d'autres attaques contre des permanences, parfois emmurées ou taguées après la ratification du Ceta, voire saccagées, comme à Perpignan, par des personnes vêtues de noir en marge d’une manifestation de « gilets jaunes ». Au total, une dizaine de locaux a été prise pour cible ces derniers jours, selon un décompte de l’AFP.
Lundi soir, un local à Foix a été tagué avec des « messages antitout, anti-police, antisystème, anti-LREM » selon le référent départemental du mouvement. Cet incident s’ajoute à d'autres attaques contre des permanences, parfois emmurées ou taguées après la ratification du Ceta, voire saccagées, comme à Perpignan, par des personnes vêtues de noir en marge d’une manifestation de « gilets jaunes ». Au total, une dizaine de locaux a été prise pour cible ces derniers jours, selon un décompte de l’AFP.
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