La Castagne et toute l'équipe des pieds nickelés de la Macronie à dégager au plus vite ! La dictature policière en marche ça suffit ! MACRON et toute ta bande dégagez et vite ! (BV en😡😡😡😡😡)
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POLITIQUE
La majorité tente de défendre Castaner face aux attaques de l'opposition
Les critiques et appels à la démission du ministre de l'Intérieur se multiplient au sein de l'opposition. Pour la majorité, prendre sa défense reste un exercice délicat.
POLITIQUE - Les critiques fusent face au silence de Christophe Castaner sur l’affaire ayant causé la mort de Steve Maia Caniço. Malgré ses interventions depuis la découverte du corps du jeune homme de 24 ans, les critiques et les appels à la démission du ministre de l’Intérieur fusent. La majorité tente de le défendre comme elle peut.
Ce jeudi 1er août, c’est le porte-parole du Rassemblement national (RN) Sébastien Chenu qui a dénoncé la “nullité” de Christophe Castaner et le “zèle du cancre”, d’un ministre “marginalisé” qui aurait dû démissionner “depuis longtemps”.
“Ce n’est pas cette affaire qui devrait conduire à la démission de Christophe Castaner, s’il n’y a pas de preuve de dysfonctionnement des forces de l’ordre”, a estimé le député du Nord sur BFMTV.
Mais, selon lui, “elle met dans la lumière la nullité de ce ministre de l’Intérieur” car “Christophe Castaner est un personnage limité, il n’a aucune vision, aucune stratégie”.
Mort de Steve: pour Sébastien Chenu, "cette affaire met en lumière la nullité de Christophe Castaner"
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Depuis la reprise en main du dossier Steve Maia Caniço par Édouard Philippe, “le ministre de l’Intérieur a été marginalisé par le Premier ministre, réduit au rôle de marionnette”, a-t-il tempêté.
“C’est le zèle du cancre. On l’a vu depuis 24 heures partout, s’affairer, monter sur tous les fronts”, a-t-il ironisé, lui enjoignant d’arrêter “de prendre les Français pour des imbéciles”.
Des critiques qui sont les dernières d’une longue série, à droite comme à gauche. Le député Julien Aubert (LR) avait reproché au ministre de l’Intérieur une “forme de dilettantisme” et appelé à un remaniement gouvernemental.
Une défense compliquée
À gauche, Alexis Corbière, porte-parole de La France insoumise, avait dénoncé un ministre “très absent”, “très silencieux”, tandis que Jean-Luc Mélenchon a futsigé le “régime macroniste qui a ouvert le cycle des violences et de la politisation de la police et de la justice” avec les ministres “Castaner et Belloubet, les bras ballants, toujours prêts à justifier n’importe quoi”.
Face à cette pluie de critiques, la défense de la majorité est délicate. Invité du “8h30 politique” sur Franceinfo ce jeudi 1er août, le député LREM Jean-Baptiste Djebarri a tenté de justifier l’attitude du ministre. “Faire de la politique sur une affaire aussi dramatique, ce n’est pas souhaitable”, a-t-il commencé.
“C’est un boulot qui est d’une complexité absolue, où vous gérez la vie quotidienne, vous maintenez la paix civile, vous avez à faire à une crise sociale”, a tenté de justifier le porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée. “Je pense qu’il le fait honorablement, et qu’il le fait dans des conditions qui sont compliquées.”
Mercredi 31 juillet, lors d’un déplacement dans l’Essonne avec Christophe Castaner sur le thème des cambriolages, le chef du gouvernement avait affirmé apporter “tout (s)on soutien” au ministre de l’Intérieur.
“J’ai pleinement confiance en lui et que nous sommes mobilisés à la tâche, pour n’accuser personne et ne dédouaner personne”, a déclaré Édouard Philippe. Il n’est “pas fragilisé”, a-t-il insisté.
Le ministre de l’Intérieur s’est ensuite rendu à Perpignan puis dans le Gard, premier déplacement en solitaire du ministre de l’Intérieur depuis la confirmation de la mort de Steve Maia Caniço, animateur périscolaire de 24 ans, lors de la Fête de la musique à Nantes le 21 juin.
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