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dimanche 25 octobre 2015

La France pittoresque : De la petite à la grande histoire de France .....




Le BULLETIN PITTORESQUE
Numéro 227 


Au SOMMAIRE de ce bulletin...










LIEU ¦ La plus ancienne fontaine de Rouen
La Fontaine de la Croix-de-Pierre, à Rouen, est un monument dont l'histoire, on ne peut plus singulière et mouvementée, aboutit à son démantèlement au début du XIXe siècle, avant qu'une réplique exacte soit de nouveau érigée sur le même emplacement et que, eu égard aux charmes de la construction originelle, la plus ancienne fontaine de la ville, on ne décide (...)

COSTUME ¦ Son avènement au théâtre
Nos premiers comédiens ne se doutaient même pas de ce qu'auraient dû être leurs habits et, au théâtre, le costume en tant que tel n'était jusqu'au XVIIIe siècle que le reflet des goûts ou de la richesse des acteurs, les habits de cour étant adoptés lors de la représentation de pièces classiques et de tragédies antiques. C'est à l'actrice Justine Favart (...)

EXPRESSION ¦ Être marqué à l'H
Être battu. L'expression marqué à l'H fait allusion à quelque circonstance qui l'a déterminée. On disait autrefois d'un boiteux, d'un borgne, d'un bossu, tous gens à qui leur infirmité, beaucoup moins pourtant que l'envie, semble donner plus de malice ou de méchanceté qu'aux autres, qu'ils sont marqués au B, parce que le b est la première lettre (...)

ANECDOTE ¦ Consommation dans une vie
Au début du XXe siècle, médecins et savants, grands amoureux de statistique, ne négligent aucune occasion de tout ramener dans l'existence, à quelques chiffres, et exposent régulièrement dans les revues et journaux, les résultats de leurs recherches : ainsi du calcul de la consommation alimentaire d'un homme le temps de sa vie. Maladie, mortalité, criminalité (...)

MÉTIER ¦ Un maître d'art charentais
Jacques Bréjoux vient d'être nommé « Maitre d'art » par le ministère de la Culture. Ils ne sont que 121 en France à être ainsi récompensés pour leur savoir-faire dans les métiers d'art.Ce Charentais fabrique depuis 40 ans du papier de manière artisanale. Situé à Puymoyen, près d'Angoulême, dans un îlot de verdure, le Moulin-du-Verger (...)

LÉGENDE ¦ L'abbesse et le cochon
L'histoire du petit cochon du curé de Vernoil et de Madame l'Abbesse de Fontevraud a défrayé la verve des chroniqueurs anciens et modernes et les épigrammes des contempteurs de l'Ordre fontevriste, à commencer par les moines réfractaires, qui cherchaient partout des motifs pour justifier leur émancipation. Le sujet prêtait à la raillerie, et l'on ne se (...)

ANECDOTE ¦ Balzac et la chanson
On trouve de toute chose dans les romans de Balzac. Comme son compatriote Rabelais, il sait tout, parle de tout, nous instruit sur tout. Il est sans doute le premier en France qui ait cité dans des romans des chansons populaires. Longtemps avant Gérard de Nerval qui, dans les Filles du feu et la Bohême galante a donné un véritable recueil, aujourd'hui bien connu, des (...)

COUTUME ¦ Réveil avant le réveil
Comment faisaient les dormeurs à l'horloge biologique mal réglée pour commencer leur journée de travail en même temps que les poules ? Comment les esclaves et les servants se levaient-ils avant leurs maîtres, qu'ils avaient en charge de réveiller ? Comment les sonneurs de cloches s'éveillaient-ils à l'aurore pour passer le relais aux villageois (...)



EXPRESSION ¦ Cordon bleu
Excellent(e) cuisinier ou cuisinière. L'ordre du Saint-Esprit, institué par Henri III en 1578 - le monarque avait établi cet ordre en mémoire de trois grands événements arrivés le jour de la Pentecôte, et qui le touchaient personnellement : sa naissance, son élection à la couronne de Pologne, et son avènement à celle de France - et réuni par ce roi (...)

PERSONNAGES ¦ Débuts de peintres
Les anecdotes sont la menue monnaie des biographies. Avec les anecdotes, on pourrait écrire des volumes amusants sur les artistes de tous les temps. Nous nous contenterons ici de passer en revue les débuts de quelques grands peintres du XIXe siècle. Commençons par Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), qui a déclaré avoir été « élevé (...)

HISTOIRE ¦ Taxe des pauvres
La taxe des pauvres, si éloignée de nos moeurs aujourd'hui, a existé en France pendant plusieurs siècles, restant en vigueur jusqu'à la Révolution. L'obligation pour la cité ou pour la paroisse de nourrir ses pauvres avait été amenée par l'Église comme un principe de charité chrétienne (Concile de Tours, 567), et par l'État comme le seul moyen de prévenir ou (...)

COUTUME ¦ Vie au XIVe siècle
Jetons un rapide coup d'oeil à l'intérieur d'une demeure aisée au XIVe siècle, à cette époque de transition où déjà l'on trouve en germe les splendeurs de la Renaissance. Depuis la fin du siècle précédent, les moeurs étant devenues plus raffinées, les seigneurs n'admettaient plus la vie en commun avec leurs serviteurs, différence notable qui, forcément, influa (...)

GASTRONOMIE ¦ Piment d'Espelette
André Darraidou raconte comment un piment doux rapporté d'Amérique latine au XVIe siècle par les nombreux basques embarqués dans les expéditions maritimes, a planté avec succès ses racines à Espelette. Espelette, connue pour son célèbre piment que l'on fait sécher dès la fin de l'été sur les devantures de maisons. Mais combien de touristes, de visiteurs, savent (...)

TRADITION ¦ Nos aïeux à table
Nos aïeux mangeaient copieusement, et nos aïeules ne faisaient pas petite bouche. Mais c'est au XVIIe siècle que le raffinement se taille une place de choix, la cuisine française acquérant bientôt ses lettres de noblesse et jouissant d'une belle réputation franchissant les frontières. « L'animal se repaît, l'homme mange, l'homme d'esprit (...)

EXPRESSION ¦ Cuit de jeudi
Se dit d'une chose sur laquelle il est trop tard pour revenir, d'une faute qu'il n'est plus temps de réparer. Cette expression est uneallusion à l'ancienne coutume des boulangers de ne cuire qu'à certains jours de la semaine. Pour les uns, c'était le jeudi ; pour les autres le samedi, ou tout autre jour. Comme alors les particuliers (...)

LÉGENDE ¦ Ponts merveilleux
On attribua à des êtres surhumains la construction de certains ponts hardiment jetés entre deux collines escarpées ou sur le courant de fleuves renommés par leur impétuosité ou la soudaineté de leurs crues. Tantôt ils les bâtissent pour leur commodité personnelle, tantôt ils aident les hommes, exigeant pour leur salaire certaines récompenses. Et lorsqu'il (...)
En vous souhaitant de passionnantes
et instructives lectures sur
 La France pittoresque

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