Alerte : Macron annonce la généralisation d’un vaccin contenant de la mort aux ratsLes 8 raisons pour lesquelles la généralisation de la vaccination anti-HPV annoncée par E.Macron est une dangereuse duperieChers amis, Accompagné des ministres de l’éducation, Pap Ndiaye, et de la santé et de la prévention, François Braun, Emmanuel Macron a ce mardi assisté à une séance de vaccination contre le papillomavirus au sein d’un collège à Jarnac. Il en a profité pour annoncer que cette vaccination serait généralisée pour tous les élèves de classes de 5ème (filles comme garçons) à la rentrée prochaine [1]. A ce stade nous ne savons pas encore si cette vaccination deviendra la 12ème obligatoire dans le carnet de santé de nos jeunes. Pour qu’elle le devienne, un projet de loi devra être présenté au parlement. La perspective de la rentrée de septembre 2023 lui laisse du temps. Mais peu importe : la campagne est prévue, et il est probable que peu de parents s’y opposeront. « Cela permet d’éviter beaucoup de cancers » : FAUXContrairement aux 11 vaccins déjà obligatoires, la « promesse » de ce vaccin n’est pas simplement de combattre un virus : « cela permet d’éviter beaucoup de cancer », a annoncé le président de la République [2]. Cette promesse est une duperie. J’ai détaillé à plusieurs reprises, depuis 4 ans, les raisons de cette duperie, études scientifiques à l’appui. Je reprends une partie de ces explications ici : elles rendent le projet de vaccination généralisée contre le papillomavirus non seulement inutile, mais dangereux. Le principal argument des promoteurs de cette vaccination, repris par M. Macron, est qu’elle protègerait du cancer du col de l’utérus. Malheureusement ce mensonge a déjà brisé la vie de plusieurs milliers de femmes. Voici les 8 raisons pour lesquelles il faut absolument cesser cette dangereuse mascarade : Raison n°1 : Le cancer n’est pas un virus !Si un jour votre médecin vous propose un vaccin qui protège du cancer, vous serez étonné… à juste titre ! Toute personne un minimum informée sait que le cancer n’est pas une maladie transmissible comme le rhume, la grippe, le sida, etc. En d’autres termes, si vous embrassez quelqu’un qui a un cancer, si vous serrez la main de quelqu’un qui a un cancer, si vous avez un rapport sexuel avec quelqu’un qui a un cancer, vous ne risquez pas d’attraper son cancer. Le principe des vaccins, c’est de protéger des maladies contagieuses et transmissibles. Un vaccin contre un cancer, c’est donc tout simplement impossible. Et pourtant… c’est la promesse du vaccin contre le papillomavirus. Ses promoteurs ont réussi à convaincre une partie de la communauté médicale et – plus grave – des autorités de santé, jusqu’au Président de la République, qu’ils avaient conçu un vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Ce vaccin est connu sous le nom générique de « vaccin anti-HPV ». Le plus connu d’entre eux est le Gardasil. Un autre est commercialisé aux Etats-Unis sous le nom de Cervarix. C’est probablement l’un des plus spectaculaires et des plus scandaleux « tours de passe-passe » de l’histoire de la médecine moderne. Raison n°2 : le tour de passe-passe Papillomavirus/cancer du col de l’utérus, établi par un Prix Nobel suspectComment Big Pharma a-t-il réussi à convaincre les gens qu’un vaccin pouvait protéger du cancer ? La mise sur le marché du Gardasil repose sur un trompe-l’œil médical : le cancer du col de l’utérus serait lié à une infection sexuellement transmissible, le papillomavirus, ou HPV [3]. En protégeant les femmes contre ce virus, on les protègerait donc contre le cancer. Cela paraît simple comme bonjour mais c’est en réalité mensonger. Le lien entre le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus a été établi par un chercheur allemand, Harald zur Hausen. Mais ce lien est un lien statistique et non un lien de cause à effet. Harald zur Hausen n’a jamais pu prouver que le cancer du col de l’utérus était causé par le papillomavirus. C’est néanmoins sur la base de ses travaux que les vaccins anti-HPV ont été conçus. En 2008, le prix Nobel de médecine a été décerné à zur Hausen pour la découverte de ce « lien ». Une publicité extraordinaire pour le Gardasil ! Mais quelques semaines plus tard, la presse révélait que de fortes suspicions de corruption avaient pesé, dans l’attribution de ce prix, sur le comité Nobel. « L'accusation la plus grave vise le groupe pharmaceutique AstraZeneca soupçonné, par la radio suédoise, d'avoir payé pour que l'Allemand Harald zur Hausen, qui a découvert le papillomavirus (agent causal du cancer du col de l'utérus), reçoive le prix Nobel de médecine 2008, aux côtés des Français Luc Montagnier et Françoise Barré Sinoussi (découvreurs du virus du sida) », pouvait-on lire dans Le Figaro en décembre 2008 [4]. La même année, un article à charge du prestigieux New York Times dénonçait la pression exercée par l’industrie pharmaceutique pour répandre la vaccination de masse [5]. L’enquête sur l’attribution du Nobel à Hauser a ensuite été étouffée. Le plus important reste ceci : le raisonnement établissant un lien de cause à effet entre le papillomavirus humain et le cancer du col de l’utérus présente deux failles. Premièrement, il existe entre 150 et 200 souches de papillomavirus. Les vaccins existants ciblent entre 2 et 9 de ces souches [6][7], qui seraient « en cause dans 70% des cancers du col de l’utérus [8] ». Cela fait une quantité considérable de souches du virus non ciblées. Des études ont montré que, dans les faits, seulement 40% des infections seraient « neutralisées » par le vaccin ; et encore, pour une durée limitée, de 7 à 10 ans [9]. La raison en est simple : les souches du virus varient énormément d’une région à l’autre. En Norvège, une étude a démontré que les souches visées par le Gardasil ne sont présentes que chez 16% des adolescentes [10] ! On est très loin de la promesse d’« éradication du papillomavirus » que promeut le Président de la République pour justifier la généralisation de la vaccination anti-HPV. L’autre faille, c’est de dire qu’un cancer peut être uniquement provoqué par un virus. Le premier oncologue venu sait que chaque cancer est multifactoriel. Les facteurs favorisant l’apparition du cancer du col de l’utérus sont : - L’âge précoce des premiers rapports sexuels [11];
- Le fait d’avoir beaucoup de partenaires [12];
- Les infections génitales à l’herpès et à Chlamydia trachomatis [13];
- Le fait de fumer [14];
- Un système immunitaire affaibli ;
- Le fait d’avoir eu deux enfants ou plus [15];
- Le nombre d’années pendant lesquelles la femme a pris la pilule [16].
Autrement dit, le vaccin protègerait contre un seul facteur, et… de façon très aléatoire. C’est la raison n°3. Raison n°3 : ce vaccin est sorti sans prouver son efficacité !Normalement, quand un nouveau médicament est créé, il doit, avant d’être mis sur le marché, prouver auprès de différentes instances [17] : - qu’il est efficace;
- qu’il n’est pas toxique.
Le Gardasil n’a prouvé ni l’un ni l’autre avant d’être commercialisé. Comment est-ce possible ?
Les médecins Nicole et Gérard Delépine l’expliquent très bien dans leur remarquable ouvrage Hystérie vaccinale, paru en 2018. Savez-vous combien de temps se passe en principe entre une demande de mise sur le marché et l’autorisation (AMS) par l’Agence du médicament ? En moyenne trois ans. C’est le temps minimum nécessaire pour que l’efficacité et la toxicité éventuelle du médicament soient évaluées. Et encore, c’est beaucoup plus rapide qu’autrefois, où ce délai atteignait facilement dix ans. Le Gardasil l’a obtenue… en 9 mois [18]. Cela paraît presque normal suite à l’AMS record obtenue pour les vaccins contre le Covid. Mais cette précipitation est d’autant plus suspecte que, dans un domaine comme le cancer, les études cliniques sérieuses portent sur des années, voire des décennies ! Comment voulez-vous prouver en neuf mois qu’un vaccin protège statistiquement du cancer ??? C’est impossible. Raison n°4 : des centaines de décès, des milliers de vies brisées par un vaccin contenant… de la mort aux rats !Les effets secondaires éventuels du Gardasil, eux, ont été surveillés pendant… 15 jours seulement, révèlent les Drs Delépine. Je vais vous parler des effets secondaires de ce vaccin, tels que constatés depuis, et vous allez comprendre qu’ils ne pouvaient pas apparaître en 15 jours. Déjà, sa composition est pour le moins étonnante. On y trouve notamment du borate de sodium, qui intervient dans la composition de la mort aux rats, et donc classé toxique par l’Union européenne, avec l’avertissement suivant : « peut nuire à la fertilité et au fœtus » [19] ! Étonnant pour un vaccin destiné prioritairement aux femmes ! Sans surprise, le premier effet secondaire est donc l’infertilité. La journaliste Senta Depuyt écrivait dans la revue Nexus en 2018 : « Aux États-Unis, le taux de natalité a connu une baisse drastique de 11% suite à l’introduction du vaccin HPV, alors qu’il avait augmenté de 8 % durant la décennie précédente. Les chiffres analysés par Gayle Delong interpellent : sur 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, on note que 60% des non-vaccinées ont démarré au moins une grossesse, pour seulement 35 % chez celles ayant reçu un vaccin anti-HPV. Dans la catégorie des femmes mariées, l’écart reste marqué, avec 75 % de conception chez les non-vaccinées, pour seulement 50% chez les femmes “immunisées” [20]. » Parmi les autres effets secondaires du Gardasil, on compte : - des ménopauses précoces ;
- le triplement des cas de fausse couche ;
- les dégénérescences testiculaires et ovariennes ;
- le syndrome de fatigue chronique ;
- des paralysies faciales ;
- de la myélite transverse ;
- des thromboses profondes ;
- des embolies pulmonaires ;
- de la sclérose en plaques ;
- des syndromes de Guillain-Barré ;
- des encéphalites progressives auto-immunes [21].
Le cas de Marie-Océane Bourguignon, qui a ressenti les premiers symptômes de cette dernière maladie 15 jours après sa vaccination, est accablant pour le Gardasil. Cette femme a perdu peu après l’administration du Gardasil l’usage de ses jambes, de la vue et a connu un épisode de paralysie faciale, a révélé un article du « Point » de novembre 2013 [22]. En tout, rien qu’aux États-Unis, les vaccins anti-HPV étaient liés en 2018 à 430 décès, 927 complications menaçant la vie, et 2 739 cas de séquelles invalidantes à vie [23]. Tous ces maux ont conduit des pays comme l’Autriche dès 2008 [24] puis le Japon en 2013 [25] à cesser net leur politique de vaccination de masse au Gardasil. Ils ont ensuite complètement cessé de le rembourser. La France, elle, s’apprête à l’injecter à tous ses élèves de 5ème !!! La question se pose : pourquoi n’a-t-on pas produit d’étude sérieuse sur la toxicité du vaccin avant sa mise sur le marché ? Il y a plus explosif encore. Le Gardasil et les autres anti-HPV auraient augmenté l’incidence du cancer du col de l’utérus. Raison n°5 : les cas de cancer augmentent après la vaccination !!!Plus les taux de vaccination sont élevés, plus l’apparition de ce cancer a tendance à repartir à la hausse – c’est tout particulièrement vrai pour les pays nordiques [26]. En mai 2018, une étude constatait ainsi une augmentation des taux de cancer du col de l’utérus chez les jeunes Suédoises vaccinées [27]. En Australie, depuis l’introduction du vaccin, la mortalité de ce cancer ne cesse d’augmenter, ayant progressé de 15% entre 2014 et 2017 [28]. En France on a compté environ 1000 décès causés par le cancer du col de l’utérus en 2015 [29]. Ces 1000 décès, c’était déjà la moyenne annuelle avant la mise sur le marché du Gardasil. Autrement dit… en France, le vaccin n’a, au minimum, strictement rien changé. Raison n°6 : la supercherie du vaccin anti-HPV est dénoncée en Grande-Bretagne depuis 2020En 2020, une étude britannique dénonçait officiellement la fraude du vaccin contre le papillomavirus, censé protéger du cancer du col de l’utérus. Cette étude émanait de la Royal Society of Medicine, la plus prestigieuse institution sanitaire de Grande-Bretagne, existant depuis plus de deux siècles. Il ne s’agit donc pas de fous dangereux, ni d’antivax, mais de la réunion des plus grands scientifiques médicaux du pays. Les publications scientifiques, pour être publiées, doivent répondre à des normes de rigueur et de « retenue » très fortes, qu’il faut savoir interpréter. Ainsi, quand une étude émanant de la Royal Society of Medicine martèle que l’efficacité des vaccins anti-HPV a été « surestimée », il faut comprendre qu’elle n’est pas efficace… voire que sa prétendue efficacité a été montée de toutes pièces. Leur étude dénonce l’inefficacité des vaccins anti-HPV, les plus connus étant, donc, le Gardasil et le Cervarix. Pour ce faire, les chercheurs de la Royal Society of Medicine ont analysé les résultats de pas moins de douze essais randomisés en double-aveugle du Cervarix et du Gardasil. Ces chercheurs ont fait ce qui aurait dû être fait il y a des années, au moment où ces vaccins ont brûlé toutes les étapes de leur mise sur le marché : ils ont pris du recul. Leur lecture fouillée des études est passionnante, car elle révèle comment les concepteurs des vaccins ont pu tromper leur monde en prétendant que leur produit est efficace. Il faut savoir que le papillomavirus est susceptible de créer, au niveau du col de l’utérus, une dysplasie cervicale. Il s’agit de cellules anormales, que l’on appelle des néoplasies cervicales intra-épithéliales. Nom de code : CIN (retenez bien cet acronyme, il est important). Or, ces néoplasies cervicales intra-épithéliales, ou CIN, sont de trois ordres, en progression, par ordre de gravité : CIN 1, CIN 2, CIN 3. Les CIN1 sont totalement bénignes et asymptomatiques. Les CIN3 sont le dernier stade avant que l’on parle d’adénocarcinome in situ (AIS) : c’est là notre cancer du col de l’utérus. Or, déclarent les chercheurs de l’étude britannique, aucune des douze études ne permet de conclure à une efficacité du vaccin contre le stade CIN3, ni l’AIS. En fait, les études laissent penser à une efficacité des vaccins… contre le CIN1, donc le stade le plus bénin – pas davantage. À ce stade, les auteurs de l’étude britannique [30] dénoncent trois trompe-l’œil : 1 - Des études invalides sur le plan du cancerLes études ayant servi à « valider » l’efficacité des virus anti-HPV n’ont pas été conçues pour vérifier leur efficacité contre le cancer du col de l’utérus (ce qui aurait pris plusieurs décennies) : elles n’ont pu cibler que les CIN, c’est-à-dire les stades précurseurs… et bénins. 2 – Des vaccins efficaces… contre des anomalies bénignes !!La seule preuve apportée par ces études est donc leur efficacité sur les CIN-1 ; or, ces néoplasies se résorbent le plus souvent d’elles-mêmes. On ne peut donc en conclure que ces vaccins sont efficaces contre les stades avancés, voire cancéreux. 3 – La loterie des souches de papillomavirusIl existe plus d’une centaine de souches différentes du papillomavirus, dont seulement douze seraient susceptibles de mener à un cancer du col de l’utérus [31]. Or, les vaccins anti-HPV ne ciblent qu’entre deux et sept souches de ces douze souches cancérigènes. C’est donc une singulière loterie ! Je vais maintenant insister sur le profond effet pervers du Gardasil. Raison n°7 : la seule mesure de prévention efficace est en train de disparaître à cause du vaccin anti-HPVOn connaît en effet l’effet pervers de cette loterie : les femmes vaccinées ne se testent plus au frottis, ce qui est le moyen le plus efficace de diagnostiquer un risque. Avant l’introduction des anti-HPV en 2007, les frottis pour déceler le cancer du col de l’utérus avaient permis de diviser par deux ou trois l’incidence du cancer, et surtout de diminuer la mortalité [32]. Car plus vous décelez tôt ce cancer, plus vous le soignez efficacement. Or, le vaccin a tendance à faire « oublier » la pratique du frottis, protectrice. Vous voyez l’enchaînement des événements : une jeune fille se fait vacciner contre le HPV, et se croit donc protégée contre le cancer du col de l’utérus, ce qui est faux, comme je l’ai montré plus haut. Elle pense que le frottis devient moins nécessaire, pour ne pas dire inutile. Donc elle ne le fait pas. C’est ainsi qu’elle augmente gravement son risque. Raison n°8 (et définitive) : un rapport bénéfices/risques désastreuxDepuis la mise sur le marché de ces vaccins, on assiste ainsi, en réalité, à une recrudescence des cas de cancers du col de l’utérus [33]. Les chercheurs britanniques dénoncent en outre : - la persistance d’infections au HPV malgré le vaccin (un comble !) ;
- le manque de représentativité des participantes aux études du Gardasil et du Cervarix, par rapport à la population générale;
- la probable proportion de « faux-positifs » au HPV, ce qui rend dès lors les résultats… biaisés.
Ces problèmes de méthodologie douteuse ne doivent pas faire oublier les très fortes suspicions d’effets secondaires provoqués par les vaccins anti-HPV, au premier rang desquels on trouve le syndrome de Guillain-Barré. Il ressort de tout cela que le rapport bénéfice/risques du vaccin anti-HPV est désastreux. Je vous le disais, au bout d’un an d’une de ses campagnes officielles de vaccination, le Japon a cessé de recommander le vaccin, suite à des dizaines de cas de « syndromes de brûlures chroniques [34] ». Une décision courageuse. Et en France ? Eh bien, en France… le ministère de la santé a décidé en décembre 2019 d’étendre sa recommandation de vaccination aux garçons [35]. Et maintenant, Emmanuel Macron entend généraliser la vaccination à tous les adolescents, garçons comme filles ! La question que je pose maintenant est : pourquoi ? Pourquoi Emmanuel Macron généralise-t-il la vaccination anti-HPV ?La France compte 6300 cas de cancers du col de l’utérus. Le taux de survie à 5 ans est de 63% à un stade avancé, et de 90% à un stade précoce. Emmanuel Macron entend donc vacciner des dizaines de millions de Français, notamment des enfants, pour espérer (je dis bien espérer, car l’efficacité de ce vaccin est, d’après les chercheurs britanniques, « surestimée ») sauver entre 1000 et 2000 personnes… Exposer la santé de millions de Français aux graves effets secondaires de ce vaccin pour sauver 1000 à 2000 vies ne tient pas debout, on s’en rend bien compte. Pourquoi alors généraliser cette vaccination ? Par intérêt financier et industriel. Le Gardasil a bénéficié d’un emballement médiatique incroyable et d’un très gros investissement de lobbying de la part de l’industrie pharmaceutique. Avant la sortie des vaccins anti-Covid, le vaccin anti-HPV était le deuxième vaccin le plus lucratif du monde. Pour la seule année 2016, le Gardasil a rapporté 2,5 milliards de dollars au laboratoire Merck [36]. Peut-on dire que, grâce à lui, on a pu lutter contre un problème de santé d’ampleur planétaire, une épidémie mondiale ? Eh bien même pas. Loin de là. En France, le cancer du col de l’utérus n’est « que » le 12è cancer touchant les femmes : 2797 femmes étaient atteintes de ce cancer en 2015. Bien sûr c’est dramatique pour les personnes atteintes. Mais ce chiffre est « modeste » comparé aux 54 062 femmes atteintes d’un cancer du sein la même année, et aux 53 913 hommes atteints d’un cancer de la prostate [37] ! Alors deux questions se posent : - pourquoi avoir fait de la lutte contre le cancer de l’utérus une croisade de santé publique dans tant de pays,
- pourquoi le Gardasil fait-il un tel carton ?!
Le succès du Gardasil repose en réalité sur : - son prix élevé (plus de 400 euros pour les trois injections nécessaires) ;
- la politique vaccinaliste des États, y compris et surtout la France, où 11 vaccins sont déjà obligatoires, ce qui fait de nous les champions d’Europe, et une exception dans le monde.
A présent que le vaccin sera administré à tous les collégiens de France, garçons compris (sous l’argument fallacieux qu’ils sont porteurs du virus, évidemment, puisqu’ils ne peuvent par définition développer un cancer du col de l’utérus !), vous imaginez le jackpot absolu pour les laboratoires commercialisant ces vaccins. La campagne de vaccination généralisée à la rentrée prochaine est annoncée comme « gratuite » par M. Macron, mais vous vous doutez bien que c’est nous, contribuables, qui allons en réalité la financer : Merck ne va pas raser gratis ! La démarche de connivence entre l’industrie pharmaceutique et le pouvoir est, dans cette affaire, outrageusement cynique. Nous devons refuser cette vaccination généralisée inutile et dangereuse, de toutes nos forces !
Nous sommes déjà 60 000 à avoir signer une pétition pour dire NON à cette obligation ! Rejoignez-nous en cliquant ici Portez-vous bien, Rodolphe |
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