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dimanche 27 septembre 2020
HISTOIRE et MÉMOIRE avec RETRONEWS - dimanche 27 septembre 2020
HISTOIRE et MÉMOIRE
Cette semaine sur RetroNews : Le censeur le plus craint de la IIIe République, une histoire accélérée du chewing-gum et de sa commercialisation, et la sinistre « liste Otto », recensant tous les livres et titres de presse interdits pendant l'Occupation.
— À la une cette semaine
INTERVIEW
• La croisade de l'abbé Bethléem, le « père Fouettard de la littérature »
L'abbé Louis Bethléem fut durant la première moitié du XXe siècle un censeur exalté de la littérature, comme de la presse, du théâtre ou de l'opéra. C'est l'obsession de cet intellectuel catholique et bagarreur qu'a retracée dans un passionnant ouvrage l'historien Jean-Yves Mollier.
Retrouvez RetroNews aux 23es Rendez-vous de l'Histoire à Blois où nous animerons, le samedi 10 octobre à 14h, une table ronde sur le thème des relations entre la presse écrite et le gouvernement.
Le Journal de Saint-Denis était un journal de gauche publié à Saint-Denis sous la IIIe République et dont le but avoué était de traiter de l'information nationale et locale en faisant montre d'une identité « banlieusarde ».
Des Mayas aux GI’s : l’histoire internationale du chewing-gum
Comment un plan visant à commercialiser des pneus à New York en vue d’une révolution au Mexique a pu muter en l’élaboration d’une confiserie adorée d’un bout à l’autre de la planète ?
L'Encyclopédie française et cosmopolite1893 - 1894
En avance sur son temps, L'Encyclopédie françaiseet cosmopolite était une revue à destination du lectorat savant de la Belle Epoque, qui chaque semaine se livrait à la présentation minutieuse d'une personnalité française des sciences, des arts, ou du commerce.
La liste Otto : les livres prohibés en France par l'occupant nazi
Pendant l'Occupation, les Allemands mettent au point avec les éditeurs français une liste de livres « indésirables », et donc retirés de la circulation. Plus d'un millier de titres où l'on trouve pêle-mêle des ouvrages de Freud, De Gaulle, Marx, Aragon ou encore Thomas Mann.
Organe socialiste fondé dans les dernières heures du Second Empire, proche des communards, La Vérité connut une existence mouvementée, traversant disparitions et relances, la faute à un lectorat épars et à des prises de positions politiques parfois paradoxales.
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