Il aura fallu plus d'un mois pour retrouver la dépouille du jeune Steve Maia Caniço, assassiné par la milice de la Macronnerie.
Damien Mikolajczyk
Et voilà... Il aura fallu plus d'un mois pour retrouver la dépouille du jeune Steve Maia Caniço, assassiné par la milice de la Macronnerie. Un mois...
Si Sa Sainteté Imperiale Macron avait perdu son portefeuille dans la Loire, je suis prêt à parier mes deux bras que son personnel l'aurait repêché dans la seconde tant il vrai qu'en Macronnerie, un portefeuille a beaucoup plus de valeur qu'une vie humaine.
Voilà toute la différence entre un État respectable et un État indigne: il y'a celui qui se préoccupe de ses citoyens et l'autre qui les méprise au profit du matériel.
Alors que tous les bons à rien de cette dictature d'opérette auraient dû faire profil bas et présenter leurs plus plates excuses à la famille du défunt, ils continuent dans leur pathétique mise en scène de la falsification des faits et se complaisent dans la provocation, assassinant de facto une seconde fois Steve.
Selon Edouard Philippe, puisque lui seul s'est exprimé sur le sujet, l'autre baltringue de Kéké de l'intérieur est resté mutique, sans doute en train de cuver ses mojitos, il n'y a "pas de lien entre la disparition de Steve et l'intervention de la police". C'est cela oui... Tout comme il n'y a pas eu de lien entre la brutalité de la milice de Castanichou à l'égard des Gilets jaunes et des citoyens lambdas mutilés, tabassées ou tout simplement massacrés.
En revanche, si la mort d'un jeune provoquée par une milice viandarde folle à lier parce qu'il écoutait de la musique en plein air un 21 juin n'a suscité aucune émotion, aucun regret, aucun mot d'apaisement pour la famille de la part de la "classe politique", les dégradations des permanences de la république poubelle en marche ont quant à elle indignées toute la Macronnerie! Un comble!
Comme à l'accoutumée, les délinquants à cols blancs brandissent le vieux poncif "c'est la démocratie qu'on attaque et gnagnagna", "quel scandale de s'en prendre à la démocratie" et toutes les variantes du genre. Ils ont raison de chier dans leurs costards à 15.000, car je vois là enfin, un réveil, un espoir de purge de toute cette crasse. Le lâcher de greluches de la macronnerie piaillant leur indignation dans les merdias complaisants n'y fera rien!
Les agriculteurs, les plus grands cocus de France, vont souffrir davantage avec le Ceta dont personne ne voulait mais imposé de force par le Duce des bacs à sable et ses sbires. Les agriculteurs, qu'un État responsable devrait aider et prendre soin puisque c'est quand même eux qui nous nourrissent, manifestent donc leur colère en détruisant à juste titre, les permanences estampillées LREM et des traitres qui ont soldé au Canada tout le savoir faire Français. Je me pose juste une petite question, j'espère que tous ces gens mécontents n'ont pas fait la sourde oreille lorsque toutes les associations et les ONG nous alertaient des dangers du CETA depuis plus de 5 ans et dans une plus large mesure, du danger absolu de laisser les clés de la France à Sa Sainteté Impériale Macron et tous ses petits copains. Le sempiternel "Voter, ça sert à rien", "voter? J ai pas le temps", aujourd'hui, on en subit les conséquences!
Alors voilà, comme toujours, en France, on attend de s'écraser comme des merdes contre le mur avant de comprendre qu'il fallait freiner pour éviter le drame.
Dans une France en lambeaux qui roule à toute vitesse sur l'autoroute de la mort, la Macronnerie est en train d'installer une dictature pérenne, comme en témoignent le muselage des journalistes trop consciencieux, le tabassage du peuple qui grogne, le maquillage grossier d'un crime d'État, la surveillances des réseaux sociaux, la protection sans faille des criminels à la botte de la crasse politique et toutes les joyeusetés à venir pour encore mieux nous contrôler et nous asservir, nous, les veaux.
Ceci dit, j'ai quand même bon espoir, car du fumier, jaillit toujours la rose. Le point de rupture est proche, les peuples se réveillent et commencent à mesurer l'ampleur des dégâts générés par une caste folle à lier dont il est urgent de se débarrasser. Pour notre avenir, pour notre planète, pour notre bien à tous.
En attendant, nous autres de la populace, les gueux, adressons toutes nos condoléances à la famille Maia Caniço. Nous, on ne bouffe pas des homards arrosés de grands crus, on ne gagne pas des millions mais il nous reste notre dignité, et c'est déjà pas mal dans une société en perdition.
Et voilà... Il aura fallu plus d'un mois pour retrouver la dépouille du jeune Steve Maia Caniço, assassiné par la milice de la Macronnerie. Un mois...
Si Sa Sainteté Imperiale Macron avait perdu son portefeuille dans la Loire, je suis prêt à parier mes deux bras que son personnel l'aurait repêché dans la seconde tant il vrai qu'en Macronnerie, un portefeuille a beaucoup plus de valeur qu'une vie humaine.
Voilà toute la différence entre un État respectable et un État indigne: il y'a celui qui se préoccupe de ses citoyens et l'autre qui les méprise au profit du matériel.
Alors que tous les bons à rien de cette dictature d'opérette auraient dû faire profil bas et présenter leurs plus plates excuses à la famille du défunt, ils continuent dans leur pathétique mise en scène de la falsification des faits et se complaisent dans la provocation, assassinant de facto une seconde fois Steve.
Selon Edouard Philippe, puisque lui seul s'est exprimé sur le sujet, l'autre baltringue de Kéké de l'intérieur est resté mutique, sans doute en train de cuver ses mojitos, il n'y a "pas de lien entre la disparition de Steve et l'intervention de la police". C'est cela oui... Tout comme il n'y a pas eu de lien entre la brutalité de la milice de Castanichou à l'égard des Gilets jaunes et des citoyens lambdas mutilés, tabassées ou tout simplement massacrés.
En revanche, si la mort d'un jeune provoquée par une milice viandarde folle à lier parce qu'il écoutait de la musique en plein air un 21 juin n'a suscité aucune émotion, aucun regret, aucun mot d'apaisement pour la famille de la part de la "classe politique", les dégradations des permanences de la république poubelle en marche ont quant à elle indignées toute la Macronnerie! Un comble!
Comme à l'accoutumée, les délinquants à cols blancs brandissent le vieux poncif "c'est la démocratie qu'on attaque et gnagnagna", "quel scandale de s'en prendre à la démocratie" et toutes les variantes du genre. Ils ont raison de chier dans leurs costards à 15.000, car je vois là enfin, un réveil, un espoir de purge de toute cette crasse. Le lâcher de greluches de la macronnerie piaillant leur indignation dans les merdias complaisants n'y fera rien!
Les agriculteurs, les plus grands cocus de France, vont souffrir davantage avec le Ceta dont personne ne voulait mais imposé de force par le Duce des bacs à sable et ses sbires. Les agriculteurs, qu'un État responsable devrait aider et prendre soin puisque c'est quand même eux qui nous nourrissent, manifestent donc leur colère en détruisant à juste titre, les permanences estampillées LREM et des traitres qui ont soldé au Canada tout le savoir faire Français. Je me pose juste une petite question, j'espère que tous ces gens mécontents n'ont pas fait la sourde oreille lorsque toutes les associations et les ONG nous alertaient des dangers du CETA depuis plus de 5 ans et dans une plus large mesure, du danger absolu de laisser les clés de la France à Sa Sainteté Impériale Macron et tous ses petits copains. Le sempiternel "Voter, ça sert à rien", "voter? J ai pas le temps", aujourd'hui, on en subit les conséquences!
Alors voilà, comme toujours, en France, on attend de s'écraser comme des merdes contre le mur avant de comprendre qu'il fallait freiner pour éviter le drame.
Dans une France en lambeaux qui roule à toute vitesse sur l'autoroute de la mort, la Macronnerie est en train d'installer une dictature pérenne, comme en témoignent le muselage des journalistes trop consciencieux, le tabassage du peuple qui grogne, le maquillage grossier d'un crime d'État, la surveillances des réseaux sociaux, la protection sans faille des criminels à la botte de la crasse politique et toutes les joyeusetés à venir pour encore mieux nous contrôler et nous asservir, nous, les veaux.
Ceci dit, j'ai quand même bon espoir, car du fumier, jaillit toujours la rose. Le point de rupture est proche, les peuples se réveillent et commencent à mesurer l'ampleur des dégâts générés par une caste folle à lier dont il est urgent de se débarrasser. Pour notre avenir, pour notre planète, pour notre bien à tous.
En attendant, nous autres de la populace, les gueux, adressons toutes nos condoléances à la famille Maia Caniço. Nous, on ne bouffe pas des homards arrosés de grands crus, on ne gagne pas des millions mais il nous reste notre dignité, et c'est déjà pas mal dans une société en perdition.