En Ariège, 207 vaches vont être abattues alors qu’une seule a été déclarée malade.
Pas parce qu’elles souffrent.
Pas parce qu’elles sont condamnées.
Mais parce qu’un protocole a décrété qu’elles devaient mourir.
Nous refusons cette décision.
Derrière ce chiffre il y a 207 vies.
Ces animaux ne sont pas de simples « unités de production ». Ce sont des êtres vivants, sensibles, capables de ressentir la peur, le stress, la douleur. Leur imposer la mort, en masse, par précaution administrative, est une décision totalement barbare.
On parle de « dépeuplement », de « gestion de foyer sanitaire ». Mais derrière ces mots, c’est tout simplement une tuerie de masse.
Tuer 207 animaux sains par anticipation n’est pas de la protection, ce n’est pas de la prévention, ce n’est pas du soin.
C’est l’image d’un système qui préfère la violence à la compassion.
L’élimination à la réflexion.
La facilité à la justice.
Les signataires de cette pétition refusent l’abattage massif comme réponse automatique.
Il existe d’autres voies :
– l’isolement ciblé des animaux réellement malades,
– la mise sous surveillance du troupeau,
– la vaccination,
– des protocoles proportionnés, respectueux du vivant.
L’Europe évolue, la science progresse, notre société aussi. Les animaux ne sont plus des “choses”. Ils sont reconnus comme des êtres sensibles par le droit français.
Alors pourquoi les traiter comme des objets ?
J’appelle les autorités à :
Suspendre immédiatement l’abattage des 207 vaches
Mettre en place des mesures alternatives respectueuses du bien-être animal
Cesser de considérer la vie animale comme une variable d’ajustement
207 vaches ne doivent pas mourir pour un principe de précaution déshumanisé.
Signer cette pétition, c’est refuser la banalisation de la violence.
C’est refuser que la mort de masse devienne une routine.
C’est défendre le droit des animaux à vivre.
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