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vendredi 11 février 2022

Quelques brèves en Macronie - vendredi 11 février 2022


Dans la série « Macron gouverne par la peur, la sienne », on est tellement serein au château, que des blindés de la gendarmerie nationale s’apprêtent à cadenasser Paris eux-mêmes pour empêcher le convoi de la Liberté de bloquer la capitale.
Régime absurditaire, suite …
(Via Nicolas Auer)










Hier à Belfort, Macron a carrément dit qu’il n’était pas au courant de la vente d’Alstom à General Electric alors qu’il était dans le coup de A à Z.
Non seulement il nous vole, mais il n’assume pas un seul instant.
Président du mensonge …
(Via Sami Sfaxi)



                                     

 


Cerveaux non disponibles

🔴 CALAIS - LE RAID ET UN HELICO EVACUENT LES OCCUPANT.ES DE L'IMMEUBLE
Quand l'état déploie des moyens dignes d'une prise d'otage parce que tu occupe un bâtiment vide pour loger des personnes à la rue, ça en dis long sur l'époque.
Vidéo : Louis Witter et UNSA Police









Peut être un dessin animé de texte


© Thomas Coeurty [Kurt]

Peut être un dessin animé de texte



Peut être une image de 1 personne, position debout et plein air


Qui souhaite que Macron soit éliminé dès le 1er tour ?
- Moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi

hé Darmanin, t’en dis quoi toi de l’état actuel du pays ? Toi aussi avant l’élection du Micron tu pensais que le banquier allait amener le pays tout droit au désastre … et bein voilà avec ton aide … c’est fait … !!!
LaREM, c’est le problème !!!!
En Avril on se découvre d’un fil .
- Au revoir président !!!!
👋😊

Peut être une illustration


© Philippe Delestre


Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’J'em- merde la France! Mais moi aussi! checked Ehet มำ accord trouvé en Russie’




Peut être un dessin animé


Dépenses publiques : où sont passés les rigoristes ?
Désormais, la dépense est décomplexée : même à l’approche de l'élection présidentielle, ni les politiques, ni les patrons n’appellent à compter les milliards d’euros qui, apparemment, coulent à flots.
Le 9 février, Eric Woerth, président LR de la commission des Finances à l’Assemblée nationale, annonce, dans Le Parisien, qu’il va soutenir Emmanuel Macron. Le 13 février, Valérie Pécresse, candidate LR, réunit ses supporter en meeting au Zénith.
Le ralliement d’Eric Woerth à Emmanuel Macron n’est pas seulement le signal d’une droite écartelée ou d’une ambition personnelle : il dit aussi que les combattants des finances publiques sont fatigués et qu’ils ont posé les armes. Ancien ministre du Budget, président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, Eric Woerth quitte une candidate LR qui affiche la rigueur, sans s’en donner les moyens, au profit d’un futur candidat dont on pressent qu’il ne fera pas campagne sur ce thème.
L’argument finances publiques a disparu du débat. Les politiques ne le portent plus, les patrons se régalent du bruit de l’argent public tombant dans leurs caisses. Président de Fipeco, François Ecalle, nuance ce constat : «A droite et au centre, il y a toujours un discours sur la nécessité de réduire les déficits, mais il n’y a pas grand-chose derrière, à l’exception du recul de l’âge de départ à la retraite que tous proposent, sauf Marine Le Pen.»
On comprend les raisons de cette attrition. Au quoi qu’il en coûte – justifié par l’urgence d’une situation exceptionnelle – ont succédé d’autres besoins, la transition écologique et numérique, la réindustrialisation, l’investissement dans les services publics, santé, justice, police, etc. La situation n’est pas spécifiquement française. Aux Etats-Unis, Joe Biden a mis plus de 4.000 milliards de dollars sur la table en cent jours. En Europe, les Etats membres se sont mis d’accord sur un plan de relance solidaire de 750 milliards d’euros, une première.
© article : Raphaël Legendre & Corinne Lhaïk, l'Opinion,
11-02-2022
© dessin : Monsieur Kak

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