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dimanche 6 février 2022

La santé avec la nouvelle page santé - Histoire d’un professeur converti

 La santé 



Histoire d’un professeur converti

Chers amis,

Sur le sujet de l'homéopathie, les avis sont toujours très tranchés : on est “pour” ou “contre” et surtout, on campe très fermement sur ses positions !

Certains réfractaires ont pourtant changé de bord de manière radicale.

C’est le cas du professeur Cazin. 

Voici son histoire vraie.

Le professeur qui retourna sa blouse

Nous sommes à Lille, au début des années 1980. Le professeur Jean-Claude Cazin est doyen de la faculté de pharmacie. Au cours de ses recherches, il prend connaissance du résultat de deux études menées récemment par le laboratoire Boiron. 

L’une porte sur Phosphorus 9 CH, l’autre sur Arsenicum album 9 CH. 

Les études concluent que ces 2 solutions sont efficaces contre la cirrhose, pour la première, et contre un empoisonnement à l’arsenic, pour la seconde.

Scientifique cartésien, le professeur est convaincu qu’il s’agit d’une arnaque et décide de refaire lui-même ces expériences.

Il en connaît le protocole. Il confie donc la tâche à des laborantins de son équipe qui reproduisent la même expérience : des rats, à qui l’on administre une dose mortelle de poison, sont répartis dans deux groupes. 

En guise de remède au poison administré, un groupe de rats reçoit la solution homéopathique, l’autre ne reçoit rien. 

Puis on attend.

Une élève du Professeur, Marie-France Chamberlain, raconte la suite de l’histoire :

« Quelque temps après, la personne qui avait réalisé l’expérience vint le voir, bien embarrassée, lui expliquant qu’elle avait refait plusieurs fois le protocole, mais qu’à la fin, en vérifiant les résultats, les seuls rats survivants étaient ceux qui avaient reçu les remèdes homéopathiques ».

Une taupe dans le laboratoire des rats

Le professeur n’en revient pas : c’est impossible ! Jamais des rats n’ont survécu à de telles doses de poison, il doit y avoir une erreur. 

Il est persuadé qu’il est victime d’un complot (le laboratoire Boiron peut-être ?). Il demande donc à son chef de laboratoire de refaire l’expérience : les résultats sont strictement identiques.

Loin de s’avouer vaincu, Cazin en déduit que… c’est son chef de laboratoire la taupe !
 

Le Pr Cazin refuse toujours d’y croire

Qu’à cela ne tienne, puisque personne n’est fiable, Cazin refera lui-même l’expérience. Résultat identique : tous les rats non pris en charge par l’homéopathie sont morts, les seuls survivants proviennent du groupe “homéopathie”.

Le professeur refuse pourtant toujours de se rendre à l’évidence. Il échafaude des théories improbables : 

« Il imagina alors que son chef de labo venait la nuit pour changer les rats. Il ne voyait pas comment puisque même lui ne savait pas quels étaient les rats qui recevaient l’homéopathie. »

L’expérience réalisée répond en effet aux critères du « double aveugle ». Autrement dit celui qui mène l’expérience ne sait pas lui-même s’il donne aux rats la solution homéopathique ou un placebo. 
 

Quel est le « truc » ?

Le professeur Cazin refuse toujours d’y croire : il doit y avoir « un truc » quelque part :


« Il fit alors changer les clés du local où il réalisa de nouveau l’expérience et garda même les nouvelles clés jour et nuit sur lui pour éviter que quiconque puisse accéder aux rats. Malgré toutes ces précautions, les résultats furent encore les mêmes : l’homéopathie, ça marche !

Il ne savait pas ni comment ni pourquoi l’efficacité était là. »

La plus prestigieuse formation en homéopathie de France 

Convaincu, le Pr Cazin décide alors de favoriser la création d’un diplôme universitaire d’homéopathie sur 3 ans dans sa faculté. Les cours seront dispensés par des homéopathes confirmés.

La faculté de Lille devient pour presque 40 ans le phare de l’enseignement universitaire de l’homéopathie en France. 

Malheureusement, les successeurs du Pr Cazin à l’Université de Lille n’ont visiblement pas la même honnêteté intellectuelle... En 2018 ils ont décidé de suspendre le diplôme d’homéopathie.

À ce jour, il n’a toujours pas repris.

Mais, je vous en ai déjà parlé dans un précédent message, de nouveaux diplômes devraient ouvrir d’ici quelques mois dans d’autres facultés!

À très vite,

Anne des éditions Nouvelle Page

PS : Dans mon prochain message, je vous dis ce que l’on peut espérer de l’homéopathie en temps de Covid. Surveillez bien votre messagerie car une surprise vous y attend ! 
 
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