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mercredi 4 août 2021

Défense des terres agricoles, Biden à la peine, les Kurdes menacés en Turquie, nos séries d'été... au sommaire de Mediapart, ce mercredi 4 août 2021

 

La lettre quotidienne
mercredi 4 août 2021

À la une de Mediapart

Pour plus de 3 millions d’euros, une héritière a acheté un corps de ferme et 15 hectares de terres cultivables aux portes de Biarritz. Des paysans occupent le terrain, revendiquant son usage agricole. Les élus veulent faire annuler la vente. «Nous n'avons pas été suffisamment vigilants dans le passé à la préservation des terres agricoles », reconnaît le député Vincent Bru

Tiraillé entre un centre néolibéral et une gauche qui tente de le rappeler à ses engagements, Joe Biden tente de sauver son plan à 4 000 milliards de dollars, mais sans aucune garantie de succès.

Par Zafer Sivrikaya

Alors que le sud du pays brûle, la minorité kurde est victime d’une série d’attaques racistes alimentées par des rumeurs sur son rôle dans les incendies. Erdogan semble lui-même y donner crédit. Le HDP, parti de gauche pro-kurde, est menacé d’interdiction. Un vent mauvais souffle sur la société turque.

Pendant une semaine, Mediapart s’installe à Annecy pour raconter le quotidien d’une ville moyenne, à la veille de l’instauration du passe sanitaire. Dans les espaces culturels de la ville, où la mesure est déjà en vigueur depuis le 21 juillet, certains établissements voient leur fréquentation diminuer de moitié. 

Le tribunal administratif de Guyane a suspendu l’arrêté permettant la construction de la centrale EDF de Larivot. C’est la première fois que l’argument des émissions de gaz à effet de serre est employé dans une décision de justice de ce type.

« Romance in Marseille », écrit en 1933, vient d’être publié pour la première fois. Dans la suite de son livre majeur, « Banjo », l’auteur jamaïcain décrit la vie de ces noirs venus d’Afrique, des États-Unis, de la Caraïbe, éblouis par « le port de rêve », ses bouges, ses filles et ses fêtes. C’est dans ce Marseille disparu que McKay explore la condition noire, l’injustice sociale et la sexualité.

Par Romain Gruffaz

Icône de nombreux combats, José Bové est aujourd’hui loin de faire l’unanimité sur le Larzac comme au sein de la Confédération paysanne, syndicat dont il fut l’un des créateurs. Aux dernières régionales, son soutien à la socialiste Carole Delga a suscité l’incompréhension.

De nombreux anciens ministres croupissent en prison, accusés de détournement de fonds. Mais si l’opération « Épervier » qui les a ciblés s’appuie sur des faits réels, elle peut aussi avoir des motivations politiques. 

À Bratislava, l’architecte-pop star-activiste urbain-maire Matúš Vallo, 43 ans, lutte contre le smog visuel et pour la qualité de l’espace public. Candidat sans étiquette, issu de la société civile, il est à la fois un électron libre et un homme de clan, dans un pays gangrené par la corruption.

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Unique dans la presse, le Club participatif de Mediapart fait vivre le débat sur la politique sanitaire face à la pandémie du Covid-19, d’autant plus légitime face à une impéritie gouvernementale largement documentée par nos enquêtes. Mais il exclut, dans le respect de notre Charte, la diffusion de fausses nouvelles, y compris sous l’alibi de démonstrations prétendument scientifiques, dont l’impact peut être dommageable pour la santé de tout un chacun. Ce qui nous a amené à dépublier un billet du sociologue Laurent Mucchielli. Nos explications.

 

9h50. Je reçois un texto : « C’est fini… » J’éclate en sanglots. Je suis officiellement SDF. Ils sont venus, ils ont défoncé la porte. De chez moi, chez nous, chez notre chat, dans notre lieu de vie, notre paradis, notre zone à défendre, notre petit appartement du Vieux-Nice où nous vivions heureux. La guerre sociale contre les pauvres nous a mis à terre. Mais on se relèvera. Comme toujours.

 

Voici un recueil de poésie à lire au bord d’une rivière ou à la terrasse d’un café. Un livre à lire en toute saison, dans le creux d’une vie ou la plénitude des instants.

 
Par 

Extraire des jeunes de leur environnement pour les "rééduquer", on pourrait croire à la mission d'un établissements pénitentiaires pour mineurs, pourtant non, le récit de "L'apprendistato" prends place dans un lycée hôtelier. On y dresse des jeunes hommes et des jeunes femmes à être corvéable à merci, afin d'y servir au mieux la bourgeoisie dans ses palaces dorés.

 

Bonne Mère de Hafsia Herzi sera présenté dans la section Un Certain Regard au Festival de Cannes. Vie de famille, vie de quartier, Marseille comme personnage.

 
Par 

Le Conseil Constitutionnel doit abroger le passe sanitaire qui est une impasse pour la République et ses valeurs démocratiques.

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