La censure ne passera pas ! Vive la liberté d'opinion ! a bas les censeurs ! (BV)
Un grand merci à Jean -Dominique Michel pour son immense travail de vérité déployé ces derniers mois pour contrer la grande INTOX politico merdiatique !
Des vacances made in LinkedIn :-)
Je remercie ce réseau de m'avoir offert des vacances, … certes pas tout à fait gratuites étant donné que je paye un abonnement annuel professionnel qui n’est pas non plus donné.
Pour la petite histoire, mon compte a donc été bloqué le vendredi 19 août « en raison d'une violation des Conditions d'utilisation de LinkedIn, due à du faux contenu (sic):»
a) Un lien vers un article de site Web qui prétend décès COVIDE sont exagérés. (Aug 08, 2020 )
b) Un lien vers l’article du site web avec le commentaire suivant (Aug 7, 2020): "Une fois que le germe du délire a imperceptiblement envahi une partsignificative d’un groupe - dans le cas présent des dirigeants politiques et des responsables de média, puis les journalistes - il va acquérir rapidement la capacité de contaminer une proportion toujours plus grande de personnes." Un texte passionnant du Dr Thierry Gourvénec, pédopsychiatre, qui a réalisé il y a longtemps une étude sur la fameuse "rumeur d'Orléans" analysée par Edgar Morin. La question centrale étant : comment une collectivité peut-elle en venir à prêter foi à des informations fausses en basculant dans une sorte de délire collectif ? C'est, ni plus, ni moins, ce qui est en train d'advenir actuellement avec la Covid. "
J’ai donc eu la chance d’expliquer à un cyber-fonctionnaire de LinkedIn que l’information a) était aussi exacte qu’il est possible de l’être puisque le gouvernement britannique lui-même avait entretemps (le 13 août) revu à la baisse de plus de 5'000 morts le nombre de décès Covid…
Et que pour b) il s’agissait d’une opinion basée sur l’expertise d’un médecin-psychiatre, d’ailleurs également exprimée par le Pr Antoine Flahaut, membre de la Task Force suisse et grand copain de l’OMS dans un interview du 13 août où il affirmait qu'on entretient (je cite) "une psychose déraisonnable", ce dont parle le Dr Gourvénec dans son article et moi dans mon commentaire.
Après moult allers-retours, ce monsieur m’a donc en quelque sorte donné raison en acceptant de lever la restriction… non sans une ultime pointe kafkaïenne puisque j’ai dû explicitement « m’engager à respecter les conditions d’utilisation LinkedIn » avec la menace suivante :
Veuillez noter que LinkedIn attend de tous les membres qu'ils adoptent un comportement professionnel lorsqu'ils prennent part à l'activité de la plateforme. Si ce compte enfreint à nouveau nos conditions d'utilisation, nous pourrons renouveler cette restriction. Toute violation future de nos conditions pourra entraîner une restriction permanente sur le compte.
Comme aux plus temps de l’Union soviétique, après avoir été bloqué pour avoir partagé une information véridique et exprimé une opinion censée, je suis donc tenu pour avoir de toute manière transgressé les règles et menacé en cas de récidive. Bigre !
Enfin, pour clore cette absurdité du temps présent, je précise qu’après consultation avec différents experts, je privilégie l’hypothèse d’une action concertée de trolls pour obtenir le blocage de mon compte à une censure délibérée. Il suffit qu’un nombre suffisant de malveillants se mobilisent simultanément en signalant des griefs inexistants pour que l’Intelligence artificielle (prouvant au passage qu’elle n’en est toujours pas une) plante un compte.
Quoi qu’il en soit, cela interroge sur la diligence de ce réseau et la manière dont le service à la clientèle professionnelle se déroule.
Une aventure de plus donc et tout à la joie de vous retrouver, je ne vais pas en faire un fromage.
Tout en espérant que LinkedIn fasse évoluer ses pratiques de sorte à se montrer plus rigoureux et professionnel dans la gestion des signalements indus ! Il en va aussi de sa crédibilité.
Pour terminer sur une petite note psychanalytique, je plagierai notre bon Sigmund en recommandant chaleureusement les services de LinkedIn à toute personne aspirant à des vacances numériques, à vos propres frais bien sûr !
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