LIBÉRATION IMMÉDIATE DE MEHMET SARAR !
LIBÉRATION IMMÉDIATE DE MEHMET SARAR !
Nous demandons la libération immédiate de notre ami, collègue et camarade Mehmet Sarar, actuellement détenu en Allemagne.
Jeudi 26 décembre, après avoir crié des slogans ensemble contre la réforme des retraites devant la Gare de l’Est, nous avons dit au revoir à Mehmet qui prenait un train pour passer quelques jours de vacances en Suisse. C’est lors d’un contrôle d’identité à la frontière franco-allemande que la police a arrêté Mehmet et l’a envoyé en prison, à Freiburg, en invoquant un mandat d’arrêt international et une demande d’extradition lancés par la Turquie à son encontre. Or, le fait que la Turquie utilise Interpol pour traquer les opposant.es politiques est un secret de polichinelle. Ainsi, lorsque l’ État allemand emprisonne Mehmet, qui a une carte de résident en France, il ne collabore pas seulement avec le gouvernement turc, mais il viole aussi les traités internationaux dont il est signataire, et plus spécifiquement ceux garantissant des droits aux réfugié.es, comme la liberté de circuler.
En effet, Mehmet Sarar a obtenu le statut de réfugié politique en 2011 en raison des persécutions subies en Turquie pour les idées qu’il défendait. Ainsi, Mehmet a passé 10 ans de sa vie dans les prisons turques où il a participé à une grève de la faim de plus de 300 jours et au terme de laquelle il a été atteint du syndrome de Wernicke Korsakoff. Depuis son installation en France, il a continué à œuvrer sans relâche auprès de la classe ouvrière dont il fait partie. Ouvrier du BTP, il est sorti dans les rues, avec les GJ hier, et contre la réforme des retraites aujourd’hui. Membre de Comité de Solidarité – GDKK, il travaillait particulièrement à l’organisation des immigré.es dans la région parisienne.
Nous exigeons la libération immédiate de Mehmet Sarar et le retour de notre camarade en France parmi nous dans les plus brefs délais !
Nous demandons à toute personne qui s’associe à notre appel de relayer l’information et d’exiger ainsi la fin de son incarcération en Allemagne.
Comité de solidarité – GDDK
Nous demandons la libération immédiate de notre ami, collègue et camarade Mehmet Sarar, actuellement détenu en Allemagne.
Jeudi 26 décembre, après avoir crié des slogans ensemble contre la réforme des retraites devant la Gare de l’Est, nous avons dit au revoir à Mehmet qui prenait un train pour passer quelques jours de vacances en Suisse. C’est lors d’un contrôle d’identité à la frontière franco-allemande que la police a arrêté Mehmet et l’a envoyé en prison, à Freiburg, en invoquant un mandat d’arrêt international et une demande d’extradition lancés par la Turquie à son encontre. Or, le fait que la Turquie utilise Interpol pour traquer les opposant.es politiques est un secret de polichinelle. Ainsi, lorsque l’ État allemand emprisonne Mehmet, qui a une carte de résident en France, il ne collabore pas seulement avec le gouvernement turc, mais il viole aussi les traités internationaux dont il est signataire, et plus spécifiquement ceux garantissant des droits aux réfugié.es, comme la liberté de circuler.
En effet, Mehmet Sarar a obtenu le statut de réfugié politique en 2011 en raison des persécutions subies en Turquie pour les idées qu’il défendait. Ainsi, Mehmet a passé 10 ans de sa vie dans les prisons turques où il a participé à une grève de la faim de plus de 300 jours et au terme de laquelle il a été atteint du syndrome de Wernicke Korsakoff. Depuis son installation en France, il a continué à œuvrer sans relâche auprès de la classe ouvrière dont il fait partie. Ouvrier du BTP, il est sorti dans les rues, avec les GJ hier, et contre la réforme des retraites aujourd’hui. Membre de Comité de Solidarité – GDKK, il travaillait particulièrement à l’organisation des immigré.es dans la région parisienne.
Nous exigeons la libération immédiate de Mehmet Sarar et le retour de notre camarade en France parmi nous dans les plus brefs délais !
Nous demandons à toute personne qui s’associe à notre appel de relayer l’information et d’exiger ainsi la fin de son incarcération en Allemagne.
Comité de solidarité – GDDK
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