« Nous estimons qu’il appartient au peuple kanak de déterminer librement son avenir », déclarent un ensemble de juristes et avocats. « Partisans du droit à l’autodétermination, nous estimons que, “restaurer le processus politique”, comme le prétend le gouvernement, suppose nécessairement, au préalable, l’abandon des mesures attentatoires aux libertés prises par l’Etat ». |
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