L’époque m’a soumis. Elle m’a forcé, oui, à me passionner pour l’écologie, à cailler dans des ZAD, à épouser Télégram, à angoisser les supermarchés, à migrainer le climat, à cramer mon éducation, à manifester mes vendredi et samedi, à perdre des amitiés. Le paradoxe ? Elle ne m’inspire plus. Réflexion d’un week-end sur ce que nous vivons. |
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