Translate

samedi 2 octobre 2021

Au sommaire de Mediapart, ce samedi 2 octobre 2021

 

La lettre quotidienne
samedi 2 octobre 2021

À la une de Mediapart

Une enquête pour « viol sur mineure de plus de quinze ans », visant un chirurgien de l’hôpital Tenon, a été ouverte par le parquet de Paris fin septembre. Plusieurs de ses patientes avaient dénoncé, depuis 2013, des violences gynécologiques auprès de l’AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Ordre des médecins, sans qu’aucune vérification n’ait été lancée.

Agitation après plus d’un an loin des tribunes, manque de formation des stadiers et forces de l’ordre, infrastructures inadaptées : plusieurs facteurs peuvent expliquer les débordements actuels en Ligue 1. Dialogue et sanctions individuelles apparaissent comme le meilleur moyen de contrer ces incidents, qui ne touchent pas que la France.

Malgré plus de quatre ans d’exercice du pouvoir, le parti présidentiel n’a pas su construire un réel réseau de militants et d’élus locaux, y compris dans les villes qui ont largement voté pour Emmanuel Macron. Mais ce dernier en a-t-il seulement besoin ?

Les sénateurs ont choisi d’accorder au tribunal de commerce la compétence de juger du devoir de vigilance des multinationales, malgré son orientation pro-business. Et en dépit de la protestation du ministre de la justice : « C’est une incongruité ! »

Alors que le conseil fédéral d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) doit valider ce week-end sa candidature à la présidentielle, Yannick Jadot peine à dépasser ses divisions avec Sandrine Rousseau, qui a réuni presque la moitié des électeurs au deuxième tour de la primaire écolo.  

Indispensables pour bâtir toute coalition gouvernementale, les deux petits partis ont décidé de se réunir pour former un bloc capable de négocier d’égal à égal avec le parti social-démocrate d’Olaf Scholz ou, ce qui est moins probable, avec les conservateurs d’Armin Laschet. Mais les deux partis longtemps antagonistes peuvent-ils vraiment s’allier ?

Des survivants de l’attaque de la terrasse du café la Belle équipe ont été entendu par la cour d’assises spéciale, vendredi.

Le procès d’Alexandre Benalla s’est achevé vendredi 1er octobre au soir après les plaidoiries de la défense. Le jugement a été mis en délibéré au 5 novembre.

Selon nos informations, le Parquet national financier vient d’ouvrir une enquête préliminaire du chef de recel de délit d’atteinte à l’égalité des candidats dans les marchés, relative à l’octroi du parc éolien de la baie de Saint-Brieuc au groupe espagnol Iberdrola. La décision fait suite à une plainte pénale déposé par le Comité des pêches des Côtes-d’Armor.

Par Le festival Corsica Doc & Mediapart


Agés de près de quatre-vingts ans au moment du tournage, Ely et Nina Bielutine vieillissent dans leur appartement moscovite. Un monde clos habité par des œuvres de Caravage, Titien, Jan Van Eyck ou Léonard de Vinci… Le réalisateur Clément Cogitore saisit ce moment fantastique, tout de clair-obscur. En partenariat avec le festival Corsica.Doc.

Par Arnaud Romain et Christine Pâris

Chaque week-end, retrouvez notre sélection d’articles lus par les comédiens Arnaud Romain et Christine Pâris tout au long de la semaine. Écoutez Mediapart, écoutez l’indépendance.

Dans le Club  Les lecteurs prennent la parole

Le Club est l’espace de libre expression des abonnés de Mediapart.

La journée 25 septembre, au Centquatre-Paris, a été l'occasion de nombreuses rencontres entre les équipes du journal, des invités et les près de 1500 visiteurs, qui ont également pu assister à des débats dont certains filmés. Retrouvez ici les trois grands débats.

 

Dans une interview de Sciences et avenir, Stanislas Dehaene s'inquiète, avec raison, des mauvais résultats des élèves français aux tests internationaux d'évaluation. II pense y répondre en optimisant le fonctionnement du cerveau oubliant complètement les déterminants sociaux qui expliquent ce constat inquiétant.

 

Professionnelles et professionnels du livre, nous n'avons pas été dupes de la mise en scène du départ d’E. Zemmour des éditions Albin Michel au nom de la « liberté d’expression ». L’extrême droite, dans les grandes maisons d’édition, n’est plus censurée. Elle y est séduite, choyée. Pour nous, notre métier a encore du sens. Nous nous désolidarisons d’une partie de notre secteur qui confère une place inédite à des idéologies attentatoires à l’État de droit, et appelons à la mobilisation.

 

Emmanuel Macron a fait le 20 septembre 2021 une déclaration importante au sujet des responsabilités françaises dans le sort des harkis. Mais cette question est l'objet depuis des décennies de diverses manipulations et propagandes. Il est utile de rappeler quelques faits historiques qui ne vont pas dans le sens des idées reçues qui circulent. Première partie. Par Gilles Manceron et Alain Ruscio

 

« Depuis plusieurs jours, la plage était déserte... » Voilà l’incipit proposé par les Éditions Nouvelles aux autrices et auteurs dans le cadre de la publication du premier tome « Nouvelles choisies ». Ma nouvelle, « L’Ire en camaïeu », en fait partie. Je vous la partage, avec l’aimable autorisation de l’éditeur.

 

Individualisation des parcours, concurrence à outrance : le principe de la « méritocratie » vanté par le gouvernement dans sa politique éducative n’a jamais paru aussi illusoire. La figure du « transfuge de classe » ne suffit pas à « contrecarrer les statistiques de l’échec » et alors qu’on attendrait de lui qu’il célèbre les vertus émancipatrices de l’école, c’est bien le plus souvent dans les ressorts familiaux qu’il puise la force de sa réussite.

 

Le nouveau Code de Justice pénale des Mineurs (CJPM) est entré en vigueur ce 1 octobre après un parcours législatif express, nouveau passage en force. À Clermont-Ferrand, ce 30 septembre le Comité "Justice des mineurs" du 63 a organisé un rassemblement devant le tribunal. Réveille-toi Prévert, ils sont devenus fous !

 

Le piège de la politique talibane sur les médias se referme sur les derniers représentants de la profession. Déjà plus de 120 médias ont baissé pavillon. Combien de jours avant qu'il n'y ait plus que des journalistes à la solde du régime taliban ? La Fédération Internationale des Journalistes appelle aujourd’hui à prendre position pour assurer la protection des journalistes en Afghanistan, étrangers comme journalistes locaux. La lumière de l'information ne doit pas s'éteindre sur l'Afghanistan. 

 

Ne saurions-nous offrir une bonne qualité de vie à nos anciens, une vie où ils se sentiraient dignes et respectés jusqu'au dernier souffle ? Le gouvernement doit arrêter les petits plans pour pallier le manque du budget de l'État et soutenir des vrais fonds citoyens de solidarité.

Faites découvrir votre journal !
Offrez à vos proches 1 mois d’accès illimité aux enquêtes, analyses et vidéos de Mediapart. Ils pourront juger de toute pièce de la qualité d’un journal 100% indépendant.
Je parraine

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire