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samedi 13 décembre 2025

La mobilisation paysanne et citoyenne se poursuit après la répression et l'abattage de 200 vaches dans le département de l'Ariège - Samedi 13 décembre 2025





Confédération paysanne
Hier, à 13:44 
🚨🚨 # #DNC #élevages #gouvernement #abattage DNC - Appel à des blocages partout : la fin de l’abattage total ce doit être aujourd'hui !
Hier, plus de 600 paysan·nes d’Ariège et du grand quart sud-ouest se sont mobilisé·es pour bloquer l’abattage d’un troupeau de 208 vaches sur une ferme située aux Bordes sur Arize.
👉 Dès la confirmation du cas de DNC mardi soir, c’est l’ensemble de la profession qui s’est mobilisé pour soutenir l’éleveur et s’opposer au massacre de ses vaches.
Ce cas de DNC est apparu à une centaine de kilomètre de la zone réglementé, c’est la preuve de l’inefficacité de cette politique sanitaire basée sur l’abattage total et une vaccination restreinte.
🚨🚨🚨‼ Comment la Ministre @genevard peut encore aujourd’hui prétendre que la maladie est « sous contrôle », alors qu’un nouveau cas vient d’être confirmé en Haute-Garonne !!
😡 De plus, depuis plus d’un mois, la profession demandait l’élargissement de la vaccination pour l’ensemble des départements 09, 11 et 66. Cette demande consensuelle et responsable a essuyé un refus méprisant de la part du gouvernement appuyé par les dirigeants de la FNSEA. Ce refus est un coup de poignard dans le dos des éleveur·euses.
👉 L’ensemble des syndicats agricoles locaux d’Ariège ainsi que les chambres d’agricultures des deux départements, Ariège et Haute-Garonne, se sont mis d’accord sur un nouveau protocole sanitaire qui a rapidement été proposé à l’État. 👉 Ce protocole avait pour but de suspendre l’abattage total et d’engager un protocole expérimental qui comprend notamment de la surveillance renforcée, un abattage ciblé des seuls animaux positifs à la DNC ainsi que l’élargissement de la vaccination.
👉 Ce protocole qui constituait une sortie de crise vers le haut a été rejeté hier par le gouvernement qui s’entête dans sa stratégie… depuis 6 mois.
Cas après cas, les mobilisations pour refuser l’abattage total prennent de l’ampleur et permette ainsi d’instaurer le doute dans cette machine administrative froide et déconnectée des réalités du terrain.
❌ Le bras de fer avec la Ministre de l’agriculture a bien été lancé et va s’intensifier dans les prochains jours avec les prochaines mobilisations et les blocages qui s’intensifient.
👉 La gestion sanitaire choisie par le gouvernement et les dirigeants de la FNSEA est plus effrayante que la maladie elle-même. Vu le développement de la maladie et l’ampleur des mobilisations, il n’y aura pas d’autre issue que de l’arrêt de l’abattage total.
📢✊🚜 La Confédération paysanne appelle donc à se mobiliser et à organiser des blocages partout en France pour en finir avec cette folie.




Jean Jacques Charbonier

1 h 
INDIGNEZ-VOUS !
Je sais que certains donneurs de leçons vont encore me dire que je n’ai pas à écrire sur cette page des avis personnel concernant l’actualité, mais je m’en fiche ; c’est ma page, j’écris ce que je veux, quand je veux ! Et je continuerai à le faire chaque fois que cela me semblera utile.
Les ronchons n’ont qu’à se désabonner.
J’ai passé l’âge des concessions.
Et comme je n’habite pas sur Mars, je suis bien obligé d’avoir des choses à dire sur ce qui se passe actuellement avec nos amis agriculteurs.
Comment des vétérinaires qui sont censés aimer les animaux acceptent-ils de tuer des vaches qui ne sont pas malades pour leur éviter d’attraper une maladie qui n’est mortelle que dans 10% des cas et qui n’est pas transmissible à l’homme ? Faire une injection mortelle dans 100% des cas a des vaches en pleine santé pour leur éviter une maladie qui ne tue qu’une fois sur 10 ne leur pose aucun problème de conscience ?
L’argument de la diminution de propagation de la maladie par l’abattage de tout un troupeau lorsqu’il y a un seul cas de maladie déclarée ne tient pas puisque cela a déjà été fait en Savoie sans aucune efficacité.
Comment des gendarmes qui sont censés défendre la population des criminels, des voleurs, des narcotrafiquants et des voyous osent-ils envoyer des bombes lacrymogènes et brandir leurs matraques sur celles et ceux qui les nourrissent et qui nourrissent leur famille sans prendre un seul jour de vacance tout en étant sous-payés ?
Et on pourrait en dire autant des militaires qui ont osé menacer des gens pacifiques et non armés venant manifester pour éviter l’euthanasie inutile d’un troupeau de 210 vaches et 70 veaux non malades avec leurs chars blindés en écrasant leurs voitures ; ça s’est passé ici, en Ariège, au village des Bordes, à quelques kilomètres de chez moi.
Comment des hommes et des femmes élus par le peuple pour défendre leurs intérêts peuvent ils les trahir de cette façon ; préférer l’importation de viandes bovines étrangères en tuant les cheptels français pour satisfaire aux exigences de Bruxelles faisant perdre par leurs décisions politiciennes l’autonomie alimentaire de leurs concitoyens.
Une chose est sûre, les décisions gouvernementales actuelles sont bien plus dangereuses que ce virus qui je le répète n’est pas transmissible à l’Homme et ne tue qu’une vache malade sur 10. On voudrait tuer nos paysans, on ne pourrait mieux s’y prendre !
Il y a des moments où il faut savoir s’indigner et résister.
Une résistance pacifique, sans aucune violence.
Alors mesdames messieurs, celles et ceux qui subissaient ces ordres totalement déconnectés du monde réel et de toute humanité, qui ne sont orientés que par les intérêts financiers du business international, posez vos seringues, posez vos boucliers et vos matraques, descendez des hélicoptères et des chars et allez embrasser nos agriculteurs, prenez les dans vos bras.
Ils le méritent bien.
Votre serviteur.





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