La révolte paysanne ne faiblit pas, bien au contraire, elle s'enracine sur la totalité du territoire. Les "gueux" des terroirs, tant honnis par Macron, qui les craint comme la peste, sont aux portes de Paris, après avoir déferlé sur Bruxelles, où ils ont été accueillis par l'extrême violence policière ordonnée par les instances européennes aux ordres de Von der Leyen.
Face à l'immobilisme des parlementaires et leur honteuse connivence avec le pouvoir macronien, alors qu'ils pourraient destituer Macron en quelques semaines, l'heure est venue de renforcer une mobilisation, qui traduit l'immense ras le bol de 90% des Français, dont 76% soutiennent la révolte agricole. Et surtout, de tenir bon, cette fois, afin de ne pas revivre l'immense frustration des gilets jaunes, qui ont été à deux doigts d'empêcher le désastre macronien.
Le chercheur du CNRS Jean-Marc Sabatier décrit un scénario qu’il juge explosif : vaccins ARN chez les animaux d’élevage, nanoparticules, ARN auto-amplifiant et contamination possible de la chaîne alimentaire. Il détaille études, alertes et angles morts. Extrait : Magazine Nexus. Voir la vidéo sur YouTube : • Les Dangers des Va***** ARNm sur la santé ...
Selon Jean-Marc Sabatier : "L’abattage systématique des vaches en raison de la dermatose nodulaire contagieuse peut être considéré comme un scandale pour plusieurs raisons, qui sont à la fois scientifiques, éthiques, économiques et sanitaires.
La maladie est bénigne dans la majorité des cas (et rarement mortelle) : le taux de mortalité est souvent inférieur à 1 %, même sans traitement. Dans la majorité des cas, les vaches infectées guérissent spontanément en quelques semaines. Les lésions cutanées peuvent être spectaculaires, mais sont non graves dans la plupart des cas ;
Le virus n’est pas zoonotique (il ne se transmet pas de l’animal à l’humain) : aucun cas de transmission à l’homme n’a jamais été documenté. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique humaine (la DNC n’affectant que les bovins) ;
Des mesures « alternatives » existent, dont l’isolement temporaire des animaux malades, des traitements symptomatiques combinés (par exemple, une combinaison d’Ivermectine, d’antibiotiques, et d’analgésique)."
Au même moment, deux événements judiciaires viennent nous rappeler le caractère crapuleux du régime macronien : une nouvelle et très lourde mise en cause, par le Parquet national financier, de Sarkozy, accusé d'avoir voulu tromper la justice, dans l'affaire du financement libyen, qui lui a valu une condamnation à 5 ans de prison ferme. La seconde affaire, toujours conduite par le PNF, vise Rachida Dati. Elle a donné lieu, le 18 décembre dernier, par l'Office anticorruption, à des perquisitions, au domicile de la ministre de la Justice, au ministère de la Justice et à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Rachida Dati, une très proche de Sarkozy et des Macron, est soupçonnée de corruption, trafic d’influence et détournement de fonds.
• Les Dangers des Va***** ARNm sur la santé ...
Selon Jean-Marc Sabatier : "L’abattage systématique des vaches en raison de la dermatose nodulaire contagieuse peut être considéré comme un scandale pour plusieurs raisons, qui sont à la fois scientifiques, éthiques, économiques et sanitaires.
La maladie est bénigne dans la majorité des cas (et rarement mortelle) : le taux de mortalité est souvent inférieur à 1 %, même sans traitement. Dans la majorité des cas, les vaches infectées guérissent spontanément en quelques semaines. Les lésions cutanées peuvent être spectaculaires, mais sont non graves dans la plupart des cas ;
Le virus n’est pas zoonotique (il ne se transmet pas de l’animal à l’humain) : aucun cas de transmission à l’homme n’a jamais été documenté. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique humaine (la DNC n’affectant que les bovins) ;
Des mesures « alternatives » existent, dont l’isolement temporaire des animaux malades, des traitements symptomatiques combinés (par exemple, une combinaison d’Ivermectine, d’antibiotiques, et d’analgésique)."
Au même moment, deux événements judiciaires viennent nous rappeler le caractère crapuleux du régime macronien : une nouvelle et très lourde mise en cause, par le Parquet national financier, de Sarkozy, accusé d'avoir voulu tromper la justice, dans l'affaire du financement libyen, qui lui a valu une condamnation à 5 ans de prison ferme. La seconde affaire, toujours conduite par le PNF, vise Rachida Dati. Elle a donné lieu, le 18 décembre dernier, par l'Office anticorruption, à des perquisitions, au domicile de la ministre de la Justice, au ministère de la Justice et à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Rachida Dati, une très proche de Sarkozy et des Macron, est soupçonnée de corruption, trafic d’influence et détournement de fonds.
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