mardi 27 août 2024

Le coup d état antidémocratique du Méprisant de la République Mac- Macron - Jour 2 de la Dictature en Marche - Mardi 27 août 2024

                      

 
C'est maintenant officiel, la démocratie est définitivement morte et enterrée au pays des Droits de l'Homme. Un comble!
C'est tout bonnement insupportable de lire ou d'entendre toute la propagande de merde anti-gauche, anti-démocratie, anti- liberté, anti-égalité, anti-fraternité, anti- écologie, anti-tout en fait, dans le seul but de maintenir en place les pourritures qui sacrifient notre avenir pour leurs copains ecocidaires milliardaires. Ce que devient mon pays m'écoeure au plus haut point, à l'image de leur monde en fin de vie, celui du capitalisme mortifère vorace et assassin.
Voter ne sert donc plus à rien, sauf pour les élections municipales régionales, et encore, puisqu'une fois de plus, l'insupportable monsieur Macron démontre ce qu'il est: un petit dictateur en mal de reconnaissance vis à vis de ses maitres. La presse étrangère comme les millions de Français(e)s qui se sont deplacé(e)s pour aller voter suite à la dissolution de son calamiteux gouvernement de baltringues après les européennes, vont pouvoir s'acheter un stock massif de Xanax afin d'oublier le coup d'Etat dont la France est victime. Un si beau pays pris en otage par des voyous qui ne sont pas prêts de dégager par le vote, celui-ci étant devenu inutile. Tous les manuels d'Histoire le disent, un dirigeant est es copains qui se maintiennent au pouvoir coute que coute en méprisant le vote du peuple quand celui-ci ne va pas dans LEUR sens, s'appelle une dictature.
"Une dictature est un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne les limitent; il faut préciser que même un régime autoritaire peut avoir des lois, des institutions, voire un parlement avec des députés élus, mais pas librement et ne représentant donc pas des contre-pouvoirs". (wikipedia)
Je me demande bien jusqu'à quand cette mascarade va durer et combien de temps encore allons-nous nous faire chier dessus par cette crasse politique indigeste complètement à côté de ses pompes et des enjeux climatiques majeurs actuels ? Oui, combien de temps ça va encore durer.
Sinon, la Terre continue de brûler, la banquise continue de fondre et la Sixième Extinction de masse de la biodiversité suit son cours.
Chères Françaises, chers Français, je nous souhaite bon courage car les années à venir vont être dures, très dures, très, très dures (ouais j'ai pas mieux pour masquer mon écœurement quant au coup d'état perfide que nous sommes en train de vivre).


 


MESSAGE A SOPHIE BINET
Bravo à la patronne de la CGT !
Elle nous avait promis de “surveiller” l'Assemblée Nationale afin de vérifier le respect, par le NFP, de ses avancées sociales.
Et que dit-elle maintenant de la comédie diabolique que nous mène macron le petit, en refusant de nommer notre première ministre ?
Autant, elle se voulait acharnée à surveiller cette gauche qui a gagné les élections, autant, devant l'immobilisme crasse de ce président autocrate, menteur et égocentrique, elle reste silencieuse et attentiste !
C'est probablement bien pour la CGT qu'elle ait pris la parole après que les électeurs aient éliminé le RN grâce au rassemblement des gauches et à la défection de candidats qui se sont sacrifiés pour empêcher le fascisme ; par contre, devant l'attitude antidémocratique du crétin qui représente la France et que la plupart des journalistes étrangers salissent quasi journalièrement en dénonçant une position incompatible avec la constitution, que compte-t-elle nous inciter à faire ?
Devons-nous faire la révolution sans les syndicats ?
Devons-nous, nous-mêmes, mobiliser les travailleurs au nom de la suppression de la réforme des retraites, de l'augmentation du SMIC et du blocage des produits de première nécessité ?
Devons-nous, nous, forces de gauche, jusqu'ici peu concernées par les conflits sociaux, constater votre carence et nous substituer à vous pour défendre les droits des travailleurs ?
Votre silence intolérable va nous obliger à nous substituer aux syndicats, quitte à créer de nouvelles structures qui reprendront à terme vos prérogatives et entraîneront à coup sûr employés et ouvriers à rejoindre un syndicat, par exemple issu de LFI, mouvement qui semblerait aujourd'hui plus populaire que FO ou que la CFDT quant à ses volontés progressistes de faire évoluer le statut des travailleurs !
De grâce, Sophie, revenez sur terre et aidez-nous VRAIMENT à rendre à ce pays en perdition, ses assise républicaines !
Quand la France est gérée par des ennemis de la démocratie, le devoir de chacun est de se révolter !
Quand comptez-vous agir ???



IL N'Y AURA PAS DE GOUVERNEMENT DU FRONT POPULAIRE
– Macron : la stratégie du chaos et du découragement –
C'était écrit d'avance, c'est désormais officiel. Macron n'a aucune intention de respecter le résultat des urnes. Il n'y aura pas de nomination d'une Première Ministre issue du Front Populaire, pourtant arrivé en tête lors des élections législatives provoquées au début de l'été.
"Stabilité"
Dans un communiqué diffusé ce 26 août, le Président de la République dit avoir «constaté qu’un gouvernement sur la base du programme proposé par l’alliance regroupant le plus de députés, le Nouveau Front Populaire, serait immédiatement censuré […] la stabilité de notre pays impose donc de ne pas retenir cette option.»
En juin, Macron avait pourtant promis de nommer Bardella Premier Ministre, même sans majorité absolue, si le RN arrivait en tête. À l'inverse, il fait barrage de toutes ses forces contre un potentiel gouvernement de gauche, même le plus tiède qui soit. Il a choisi le chaos, le coup de force, le putsch. La situation actuelle est inédite dans l'histoire de la Cinquième République,
Macron a gouverné sans majorité depuis 2022, utilisant toutes les procédures les plus autoritaires et exceptionnelles, notamment un record d'usage du 49.3 jamais vu dans l'histoire.
Souvenez vous qu'il déclarait pourtant en 2017 : «Je veillerai à ce que notre pays connaisse un regain de vitalité démocratique, les citoyens auront voix au chapitre, ils seront écoutés» et qu'il jurait en 2022 : «À celles et ceux qui ont voté pour moi, non pour soutenir mes idées mais pour faire barrage à celles de l’extrême droite, votre vote m’oblige. Je ne suis plus le candidat d’un camp, mais le Président de toutes et tous». Jamais un dirigeant n'aura, à ce point gouverné par le mensonge, ni autant détruit le sens des mots, abîmé le réel.
Que fait le mouvement social ?
Il est tétanisé, vaincu d'avance. Alors que nous étions des millions à faire cette promesse l'année dernière: «pas de retraites, pas de JO», les centrales syndicales ont finalement appelé à «ne pas gâcher la fête» à la veille des Jeux Olympiques.
C'était pourtant le moment où jamais de frapper vite et fort. Une seule journée de grève pendant un tel événement, sous les yeux du monde entier, en vaut des centaines en temps normal. La victoire n'est possible qu'avec un rapport de force au moment opportun quand l'adversaire est lui même en difficulté. Pas de gaspiller toutes les forces dans des «journées» isolées qui n'ont jamais inquiété le moindre gouvernement.
Imaginez si le pays avait été paralysé par les blocages et les manifestations à la fin du mois de juillet, les dirigeants du monde s'en seraient rappelé avec épouvante pour des décennies. Au lieu de ça, Macron a réussi à mettre le pays sous cloche, à taire les contestations, et s'attribue la «réussite» des jeux. Cette toute puissance lui permet à présent d'aller toujours plus loin.
Et maintenant ? La secrétaire générale de la CGT évoque une «possible grève» d'ici «la fin septembre début octobre». Et le ton est aussi risible du côté du Front Populaire : il y a quelques jours, Lucie Castets sortait toute souriante de son entretien avec Macron, et saluait «le dialogue constructif» avec le président. Soit ces gens sont d'une naïveté absolue, soit ils n'ont toujours pas compris la nature pouvoir en place. Ce dernier ne reculera que s'il ressent physiquement la peur.
La stratégie de la résignation
Toute la doctrine de Macron pourrait être résumée en une seule phrase du théoricien d'extrême droite Maurice Barrès : «La première condition de la paix sociale est que les pauvres aient le sentiment de leur impuissance.»
Depuis 7 ans, toute la gouvernance ne sert qu'à fabriquer de la résignation, de la soumission, du désespoir. Face aux grèves monumentales ? Mépris, silence et lacrymogènes. Face aux Gilets Jaunes ? Répression sanguinaire. Face au plus grand mouvement social depuis Mai 68, celui de 2023 sur les retraites, et contre 90% des travailleurs ? 49.3 et absolument aucune concession. Les banlieues se soulèvent ? Des brigades anti-terroristes sèment l'effroi dans les quartiers, et la police sort encore renforcée. À présent, même en cas de vote perdu par Macron et remporté par la gauche, c'est le coup de force.
On nous a répété que «ce n'est pas la rue qui gouverne», qu'il faut «attendre les élections» et «jouer le jeu démocratique» si la situation ne nous convient pas. Même ce petit refrain n'a plus aucun sens.
Le message est clair : nous n'avons pas la parole, nous ne sommes rien et n'avons aucune autre solution que courber l'échine. Manifester ne sert à rien. Voter ne sert à rien. Écrire ne sert à rien. "Taisez vous et restez chez vous", voilà le message tyrannique, de Macron.
Destitution ? Insurrection ?
Un soulèvement n'a jamais paru aussi légitime et audible. Le clan au pouvoir n'écoute plus rien, il est barricadé dans sa forteresse, et piétine tout les principes établis, y compris les règles constitutionnelles qu'il prétend défendre. Même la fameuse «République» dont se drapent les dirigeants pour conserver un semblant de légitimité est totalement bafouée. Le roi est nu.
Les tractations politiciennes ou les bisbilles infinies sur nomination d'un Premier Ministre n'intéressent plus personne. Nous n'en sommes plus là. L'urgence est de ne pas laisser passer ce coup de force de plus. Ce coup de force de trop.
Ou alors, absolument plus rien ne séparera la situation politique française d'une dictature soft.
                     

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