Article réservé aux abonnés Je n’ai pas de sympathie particulière pour Jean-Marc Morandini. Pas d’antipathie non plus. Le fait que la profession semble assez largement le tenir pour un gros beauf joue plutôt en sa faveur. Il m’est arrivé de participer à son émission à Europe 1, comme animateur, je l’ai toujours trouvé très pro, et il ne m’a jamais demandé de me dénuder...Lire l'article
« Radio plus, radio plus, radio plus… » : en terme de conformisme ronflant, la chaîne privée qu’avait imaginée Jean Yanne dans son chef d’œuvre Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil n’a rien à envier au ghetto idéologique qu’est devenue France Inter... Lire l'article
Depuis son arrivée au pouvoir en 2013, le président Maduro n’a fait que plomber le relatif succès de son prédécesseur Chavez et entend bien diriger son pays d’une main de fer. Résultat : le Venezuela s'enfonce dans une crise généralisée... Lire l'article
Le livre est une succession de chapitres ponctués de petites morales, comme un chemin de croix en 69 stations, mais avec des hauts et des bas ; un cheminement humain aux côtés du bien et du mal, jusqu’à la dernière ligne où Michel de Jaeghere, à propos du mystérieux XXe siècle, n’évoque rien moins que l’implication, en personne, du « Prince de ce monde »... Lire l'article
Article réservé aux abonnés Causeur. Votre idée, en consacrant une exposition à Baudelaire critique d’art était-elle de réhabiliter une partie de son œuvre que vous jugez sous-estimée et en quelque sorte écrasée par LesFleurs du mal ? Baudelaire était-il vu par ses contemporains d’abord comme un critique, voire, horresco referens, comme un journaliste ?
Jérôme Farigoule La critique d’art est, en France et en France seulement, un genre littéraire à part entière. Il a été créé par Diderot, auquel nous avions consacré une exposition à Montpellier
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