Cette semaine dans Marianne : «Comment on achève les classes moyennes»
Samedi 23 Février 2013 à 12:00 |
MAGAZINE MARIANNE
De la politique d'austérité du gouvernement qui ne dit pas son nom, en passant par les coulisses de l'élection à la mairie de Paris, l'actualité vacille entre mystères et scandales. Que s'est-il passé dans la cellule où l'agent des services de renseignement israéliens, Ben Zygier, a été retrouvé mort? Qui sont vraiment les policiers de la BAC Nord de Marseille mis à pied?
Luttes sociales, luttes politiques et âppat du gain, Marianne revient cette semaine sur les velléités de ceux qui avancent dans l'ombre. La politique fiscale du gouvernement ? Selon un sondage exclusif Harris Interactive Marianne, 80% des français se déclarant appartenir aux classes moyennes la trouve "injuste". Après avoir perdu les catégories populaires, la gauche peut-elle prendre le risque de les abandonner ? Réponse dans notre dossier : « Hollande et les classes moyennes, le divorce pour faute » Sondage, analyse, mesures urgentes proposées par la rédaction, découvrez comment désendetter l'Etat sans matraquer systématiquement les mêmes.
«Faut qu'ça saigne !», disait Boris Vian, à l'horizon des municipales parisiennes, le combat de coqs est en passe de devenir une stratégie de pools. D'un côté, la pugnace et copéiste Rachida Dati, en face l'intrépide Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy. Au bout, la mairie de Paris et une élection qui ravivent les divisions de l'UMP. «Paris vaut mieux qu'une héritière», argue l'ancienne garde des sceaux à laquelle la député de l'Essone répond en signant ses SMS d'un onctueux " je t'embrasse". Patte de velour et griffe d'acier, « Droite bobo contre droite bling-bling », Marianne revient sur le match de la semaine. ...
«Faut qu'ça saigne !», disait Boris Vian, à l'horizon des municipales parisiennes, le combat de coqs est en passe de devenir une stratégie de pools. D'un côté, la pugnace et copéiste Rachida Dati, en face l'intrépide Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy. Au bout, la mairie de Paris et une élection qui ravivent les divisions de l'UMP. «Paris vaut mieux qu'une héritière», argue l'ancienne garde des sceaux à laquelle la député de l'Essone répond en signant ses SMS d'un onctueux " je t'embrasse". Patte de velour et griffe d'acier, « Droite bobo contre droite bling-bling », Marianne revient sur le match de la semaine. ...
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