lundi 29 décembre 2025

La Santé avec Santé maintenant - Les vaccins sont-ils une source de revenus significative pour les pédiatres ?

 

La Santé


La lettre du Dr Michel de Lorgeril 


Les vaccins sont-ils une source de revenus significative pour les pédiatres ?

Docteur Michel de Lorgeril

Chère lectrice, cher lecteur,

Les injections vaccinales suscitent, ces jours-ci aux USA – et un peu en Italie où ça ne fait que commencer – des disputes incessantes et interminables à propos de multiples aspects de la médecine des vaccins, notamment celle appliquée aux enfants et surtout aux bébés.

Généralement de bonnes questions émergent et les américains, contrairement aux français, peuvent être fiers d’eux-mêmes : ça bouge enfin !

Il était temps !

Jamais l’ombre d’une critique ou d’une réserve !

Les sociétés de pédiatrie (aux USA et ailleurs) sont très favorables (c’est peu dire) à la vaccination des enfants, surtout des nourrissons.

Et les pédiatres praticiens (obligatoirement membres de ces sociétés dites « savantes » ; c’est amusant !) sont également très favorables à TOUS les vaccins des nourrissons ; jamais l’ombre d’une critique ou d’une réserve.

Cette unanimité est étonnante et… suspecte selon certains qui défendent la médecine scientifique.

C’est un peu à l’image des Shadocks [ils pompaient le matin, ils pompaient le soir, ils pompaient à midi…] ou du succulent Trump [creusez le matin, creusez le soir, creusez la nuit…], les pédiatres (et d’autres médecins) piquent le matin, piquent le soir… et bien rarement – comme les Shadocks et Trump – peuvent légitimer scientifiquement ces pratiques.

La question du conflit d’intérêt

Pourquoi pas ?

Mais de façon tout aussi légitime, certains « idiots » peuvent poser la question : ces pratiques vaccinales (comme celles des Shadocks et Trump) sont-elles embrumées de quelque conflit d’intérêt ?

Dit autrement, piquer les bébés aurait-il un intérêt commercial (financier) pour les pédiatres et les cliniques de pédiatrie américaines ?

Il est en effet bien rare dans nos sociétés que des pratiques incontrôlées n’aient pas quelque motivation dissimulée. Judicieuse question posée par des experts américains (ci-dessous).

Et reprise judicieusement (pour une fois) par Robert Kennedy (RFK Jr), le ministre de la santé de Trump.

Les médias et la défense des pédiatres

Je n’ai pas besoin de traduire « vaccines money-makers ».

Bien entendu, des médias américains autrefois valeureux mais devenus des paillassons (le New York Times, par exemple, sur lesquels désormais on s’essuie les pieds) se sont précipités au secours des cliniques de pédiatrie en compagnie des sociétés de Pédiatrie dont l’honneur serait ainsi bafoué (ci-dessous).

Chacun mesurera les arguments déployés par les pédiatres représentant leur société supposée savante… Calamiteux !

Des incitations financières bien réelles

Inutile de traduire je pense.

En fait, comme on le lira dans l’article de Brenda Baletti (citée auparavant) qui a fait une enquête sérieuse à la suite des déclarations de Kennedy et des réponses des pédiatres, il y a des incitations financières à la vaccination par les pédiatres (parfaitement documentées et admises par les autorités) avec comme principe basique : « plus on vaccine et plus on est récompensé ».

C’est un conflit d’intérêt « gros comme une maison » qui n’est généralement pas connu des parents…

Ces « cadeaux » de l’administration viennent s’ajouter aux honoraires versés par les familles ou leurs assurances pour chaque séance de vaccination obligatoire.

Ça finit par faire un sacré pactole !

La vaccination, ce business (très) lucratif

Selon un expert cité par Baletti, pour un pédiatre (ou une clinique de pédiatrie) avec une patientèle importante (des milliers de dossiers), on atteint facilement le million de dollars chaque année.

L’argumentaire du New York Times n’est pas recevable !

On comprend l’enthousiasme vaccinaliste (et l’absence de réflexion ou de critiques) des pédiatres américains.

Pour certains pédiatres contactés par Baletti, le discours est différent : selon eux (les croit qui veut), ces incitations seraient une condition de survie des cabinets de pédiatrie : dite autrement (et pour être très clair) pas de vaccination signifierait qu’on ne peut maintenir ouvert le cabinet de pédiatrie…

On voit que la vaccination intensive des bébés américains n’a plus rien à voir avec leur santé ; c’est l’économie des cabinets et cliniques de pédiatrie qui est en jeu.

J’espère que chaque lecteur mesure l’ampleur du désastre !

J’ai analysé ces questions dans une série de livres dans la Collection Vaccins & Société dont je reproduis quelques couvertures ci-dessous.

Un autre argument (également douteux et toujours économique) serait que chaque injection nécessiterait de longues explications aux parents (de plus en plus sceptiques et inquiets) par les médecins, donc une perte de temps ; et de revenus...

Mais, en fait, une enquête a montré que les pédiatres surchargés de travail n’ont pas le temps de fournir des explications et se contentent de fournir un léger document (le VIS ou Vaccine Information Statement) que les parents étudient en salle d’attente avant qu’une infirmière ou une aide-soignante procède à l’injection…

Et nous, en Europe ?

J’en reste là pour les USA car nous ne sommes pas sur place pour juger des situations multiples et variées qui sans doute justifient certaines incitations…

Peut-être ! Pas sûr !

Et je laisse chaque lecteur de cette lettre réfléchir à la situation Européenne, notamment française, avec une simple question : le (ou la) pédiatre a-t-il (elle) intérêt à vacciner impétueusement ?

Y a-t-il quelque conflit d’intérêt dissimulé ?

Moins de vaccins signifie-t-il moins de revenus pour le cabinet ? Certains le disent…

Dernières questions : est-il permis (admissible) de poser cette question (sans fâcher les collègues) et avons-nous des enquêtes bien documentées permettant d’y répondre ?

Prenez soin de vous et à très vite,

Michel de Lorgeril


P.S. Si vous m’avez lu jusqu'ici, c'est que vous êtes de ceux qui cherchent vraiment des réponses solides et sans langue de bois.

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