mercredi 27 août 2025

Mon actu insoumise du Mercredi 27 août 2025

               




J'AI REPÉRÉ DEUX ACCELERATEURS DE MEGAFEUX SOCIAUX !!
J'ai appris, en écoutant les commentateurs d'incendies de l'été, que les carburants ou autres liquides inflammables, utilisés intentionnellement pour attiser les flammes s'appelaient des "accélérateurs d'incendie".
Appliquant cette sémiotique aux pyromanes sociaux, j'en ai trouvé deux dans les infos du matin: "Raphi et Bernie, boutefeux en réunion" !!
INCENDAIRE A L'INSU DE SON PLEIN GRE...
L’eurodéputé Raphaël Glucksmann ne soutiendra pas, contrairement au reste de la gauche (gôche), les appels de collectifs citoyens à « tout bloquer » en France le 10 septembre, lancés sur les réseaux sociaux, qui se cristallisent autour des coupes voulues par François Bayrou pour le budget 2026.
Raphi ne veut pas bloquer un pays déjà bloqué...
Sacrée rhétorique, que du vent qui pourrait attiser les braises de la révolte !
PYROMANE EN COSTARD DE CHASSE A BASSECOUR...
Le nom de Bernard Cazeneuve, l'ex-premier ministre de Hollande, circule pour le poste de premier ministre de Macron, en remplacement de l'idiot du Béarn.
Pour ma part, je retiens qu'il fut à l'origine de la mort d'un jeune écologiste, Remi Fraisse et que son meilleur ami est Brice Hortefeux...
Je ne crois pas que sa nomination serait de nature à calmer les ardeurs de la rue en fusion. En revanche, il a le profil du parfait "accélérateur d'incendie" !
Boris Vallaud
(alias le « fossoyeur rose pâle »)
Boris Vallaud… Ce nom sonne comme un personnage de roman. Mais pas de Zola, non : un roman sucre d'orge à la Musso « l'idiot de la rose fanée», où le héros se déguise en opposant de gauche… avant de finir au cocktail de l’Élysée, un canapé de saumon fumé coincé entre les dents.
Boris, c’est ce type qui, en campagne, jure à ses électeurs qu’il combattra Macron jusqu’à son dernier souffle… et qui, une fois élu, prend un abonnement annuel au "Joyeux Collabo" pour acheter des balles anti-Lfi contre la Résistance.
Le peuple de gauche, en votant NFP, voulait rompre avec le macronisme...
Boris, lui, a entendu : « faites-nous un plan câlin avec Macron ». Résultat : le PS, sous son influence mollassonne en adéquation avec Flamby 1er, a préféré Bayrou à ses propres électeurs. On se souvient de cette motion de censure contre Bayrou ? Pas votée ! Ah non, fallait pas froisser le maire de Pau, c’est lui qui tient la clé du buffet à homards.
Et que dire de ce coup de maître : Najat Vallaud-Belkacem propulsée à la Cour des comptes par le même Bayrou. La combine sent tellement la combine droitière qu’on se croirait revenu aux grandes heures de la IVe République. Un vrai chef-d’œuvre de pistonnage réciproque : « tu me sauves un ministre, je te case madame ». Et après ça, on s’étonne que les gens se barrent à LFI ou fuient la politique.
Quant au PS qui ne veut plus d'alliance avec la vraie gauche, son avenir est clair : signer son arrêt de mort avec un stylo Montblanc prêté par Macron et un bonnet d'âne remis par Retailleau. Car enfin, à force de préférer le libéralisme à l’anticapitalisme, ces ex-socialistes ne sont plus qu’un club de bridge pour notables provinciaux. Le parti qui faisait rêver Jaurès est devenu l’agence d’intérim de la Macronie.
Alors Boris Vallaud, qu’on le veuille ou non, restera dans l’histoire… mais pas dans la bonne page. Dans le chapitre « Comment flinguer une gauche unie en trois leçons ». Leçon numéro un : faire semblant d’être à gauche. Leçon numéro deux : refuser de censurer la droite. Leçon numéro trois : envoyer sa femme au guichet de Bayrou pour récupérer les tickets resto.
Bref, Boris Vallaud, c’est un peu le dealer de trahisons au détail. Son slogan pourrait être : « Avec moi, jamais la rupture !
Sauf avec les électeurs. »

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