Cantonnés aux bas-fonds, cabarets ou maquis, les artistes et les musiques venus des colonies ou des DOM-TOM, ces « confettis de l’Empire », ont dû attendre les années 1980 pour commencer à prendre le devant de la scène. Au point que les « musiques urbaines », leurs héritières créolisées, sont aujourd’hui devenues les sons les plus appréciés de la France plurielle, même si cela ne plaît pas à tout le monde. |
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