Ce matin, une collègue enseignante-chercheuse expliquait qu’elle devrait, en pleine vague de chaleur, siéger à un jury de thèse « dans une faculté sans clim[atisation], sans ouverture possible des salles la nuit et, cerise sur le gâteau, en toge ». Il y a donc des gens qui, pour pouvoir poursuivre l’exercice d’une tradition, sont prêts à faire courir à des personnels le risque, au mieux, d’un fort inconfort. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire