D’emblée, le titre, magnifique, traduit l’ambition du projet : que chacun de nous en soit conscient ou non, il descend d’hommes et de femmes qui ont espéré et souffert, aimé et connu la désillusion et la séparation à des époques bien différentes de la nôtre, où n’existaient pas encore l’automobile, le téléphone, l’informatique, mais où on pouvait croiser Victor Hugo, Félix Nadar, Sarah Bernhardt ou Claude Monet... Inscrit dans cette continuité, n’en serait-il pas aussi le continuateur ?
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