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mardi 27 août 2024
La Santé avec Santé non censurée : L'étude qui mettait 17 000 décès sur le dos de Raoult a été RÉTRACTÉE
La
Santé
L'étude qui mettait 17 000 décès sur le dos de Raoult a été RÉTRACTÉE
Chère lectrice, cher lecteur,
La vérité : 1 - Les lobbys : 0
Il y a quelques jours, l’étude qui accusait le protocole anti-COVID de Didier Raoult à base d'hydroxychloroquine d’avoir directement causé le décès de 17 000 morts dans le monde[1]a été rétractée.
L’un des principaux éditeurs mondiaux de littérature scientifique, Elsevier, a reconnu que cette étude n’avait aucune valeur scientifique.
Pourtant, à sa sortie, tous les médias avaient salué “la méthode rigoureusement scientifique” de ce torchon.
Ils en avaient même profité pour traîner Didier Raoult dans la boue, avec une cruauté dont même les vrais criminels sont épargnés.
Je vous rafraîchis la mémoire.
Une étude qui a trompé tout le monde, même les plus sceptiques
Le 2 janvier 2024, une équipe de chercheurs français publie une étude intitulée “Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: An estimate”.
(Décès causés par l’usage compassionnel de l’hydroxychloroquine durant la première vague de COVID-19 : Une estimation).
J’avais tout de suite senti que quelque chose clochait dans cette étude.
Alors j’ai mené l’enquête. J’ai analysé chaque donnée avancée par les chercheurs. Et chaque donnée s’est avérée bidon.
Et je vous ai envoyé les résultats de mon enquête le 7 février, dans un mail intitulé “Mon enquête interdite sur l’hydroxychloroquine” (Vous pouvez regarder dans votre boîte mail).
A l’époque, j’ai été parmi les premiers dans la sphère francophone à révéler le pot-aux-roses : cette étude est un FAUX. Sa méthodologie et ses données sont erronées et ses conclusions sont donc nulles et non avenues.
C’était de la pure diffamation à l‘encontre de Didier Raoult, et ces chercheurs devraient être traînés en justice.
Car c’est une chose de débattre de l’efficacité de la solution de Raoult. C’en est une autre de l’accuser d’avoir tué des milliers de personnes…
Bref… voilà que 6 mois plus tard, la vérité est faite.
Voici ce que vous pouvez lire sur la page de l’étude (je l’ai traduit de l’anglais pour vous).
Annonce spéciale
Ma contre-enquête interdite sur l’hydroxychloroquine
Aucun média ne vous en a jamais parlé
Le 2 janvier 2024, une étude française publie une enquête contre l’hydroxychloroquine. Selon les chercheurs, les prescriptions d’hydroxychloroquine (HCQ) contre le COVID auraient provoqué 17 000 morts dans le monde.
TOUS les médias se sont jetés sur cette “nouvelle” comme des rapaces – et en ont profité pour traîner dans la boue le Professeur Raoult, qui avait préconisé la HCQ.
J’ai fait le travail que PERSONNE n’a voulu faire – que personne n’a osé faire.
Mais moi j’ai fait ce que personne n’a voulu faire : j’ai mené une contre-enquête.
Pendant 3 semaines, j’ai disséqué l’étude française du 2 janvier.
J’ai fait appel aux plus grands experts en virologie, en vaccinologie, en médecine, en méthodologie scientifique…
Et après ces semaines de recherche, je peux l’affirmer : cette étude est bidon.
Découvrez ma contre-enquête explosive sur les dessous de l’étude aux “17 000 morts”
- Ce que l’étude du 2 janvier vous cache (morts, causes de décès, protocoles interdits) ;
- Comment les chercheurs ont manipulé les chiffres ;
- Pourquoi on s’acharne contre Didier Raoult.
Suite de la lettre ci-dessous
Le rédacteur en chef d’Elsevier conclut que l’étude n’a aucune fiabilité
Après la publication, la revue a été informée du débat suscité par cet article parmi les lecteurs. La revue a reçu un certain nombre de Lettres à l'Éditeur et de correspondances de la part des lecteurs. Le plan, tel que publié dans une version préliminaire d'une note de l'Éditeur, était initialement de publier ces Lettres à l'Éditeur, après que les auteurs de l'article en question aient eu le droit de répondre et de soumettre une réponse (qui serait également publiée, après examen).
Après avoir évalué toutes les informations à ce stade, et en raison de l'étendue et de la profondeur des critiques, le Rédacteur en Chef a décidé de changer d'approche et de traiter cette affaire selon le processus du Comité d'Éthique des Publications (COPE) pour les corrections au dossier scientifique : https://publicationethics.org/
À l'issue de ce processus, et après une réflexion approfondie sur toutes les informations disponibles, cet article a été rétracté à la demande du Rédacteur en Chef.
La décision de rétracter l'article a été prise en raison de deux problèmes majeurs :
La fiabilité des données et le choix des données. Le jeu de données belge en particulier s'est révélé peu fiable, basé sur des estimations.
L'hypothèse selon laquelle tous les patients entrant dans la clinique étaient traités de la même manière sur le plan pharmacologique était incorrecte.
Ces deux problèmes ont conduit le Rédacteur en Chef à conclure que les conclusions de l'article étaient peu fiables et que, par conséquent, l'article devait être rétracté.
Est-ce qu’on en parle en France ?
Bien sûr que non. Ni Libération, ni Médiapart, ni Le Monde qui avaient pourtant largement relayé l’étude bidon n’ont fait mention de ce retrait. Reconnaître aujourd’hui leur erreur est sans doute au-dessus de leurs forces (ou ne fait pas partie de leur déontologie journalistique ?).
Seuls quelques médias suisses[2] – qui sont les rares à jouir d’une vraie liberté d’expression – et quelques comptes Twitter ont évoqué cette rétractation.[3]
Nous attendons encore les excuses
Évidemment, personne ne s’est excusé non plus.
Et surtout pas les plus virulents. Comme ce professeur de pharmacologie, présenté comme le “héraut anti-Raoult”, qui avait eu le culot de qualifier les essais de Raoult de “tâche sur la science”...[4]
Quelle ironie !
Car cette étude rétractée aujourd’hui est la deuxième étude contre l’hydroxychloroquineà être retirée.
Une première étude publiée par la revue médicale de renom The Lancet en 2020 avait prétendu démontrer que l’hydroxychloroquine était potentiellement mortelle et surtout inefficace.
Mais voilà le problème : les auteurs n’étaient pas des scientifiques, les données étaient inventées et les études manipulées. Tout cela dans un seul but : nuire à la stratégie thérapeutique de Didier Raoult pour laisser toute la place à de nouveaux médicaments, dont le vaccin.
Et cela avait marché puisque toutes les études cliniques sur cette molécule ont été suspendues depuis.
On peut supposer que cette seconde étude de janvier n’était donc, à nouveau, qu’une manigance des lobbys pour “assassiner” Raoult.
Mais la pandémie est passée. Il est temps d’arrêter de s’acharner contre les faux coupables, et que les vrais charlatans de cette crise sanitaire soient dénoncés (indice : ce n’est pas les médecins qui ont essayé de soigner leurs patients).
Et d’ailleurs, si vous ne l’avez pas déjà fait, je vous invite à lire ICI la contre-enquête que j’avais osé écrire en janvier dernier.
Prenez soin de vous,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
P.S. : Attention, je ne dis pas que l’hydroxychloroquine est une molécule miracle qui guérit le COVID. Ce n’est pas du tout le débat. Le débat ici c’est l’intégrité scientifique. Il est juste faux de dire que Raoult a tué 17 000 personnes avec son protocole. Il n’y a donc aucune raison de l’attaquer pour cela. Ce sont des pratiques de mafieux, et non pas d’hommes éclairés. Mais dites-moi ce que vous en pensez en laissant vos commentaires ICI.
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