Le problème de la loi de 2004 sur les signes religieux dans l’éducation publique, disons-le d’emblée, ne vient pas des vêtements, mais de l’interdiction ou non de les porter. Depuis les attentats de 2015, son application s’est affermie à l’endroit des musulmans. Peut-on réellement venir à bout du terrorisme ainsi, en le réduisant à des vêtements portés ou non par des adolescents ? Le souhaite-t-on, surtout ? |
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