Vendredi 15 décembre 2023 — Impact !
BONJOUR ! Mardi soir, au Musée Guimet, l’Opinion a organisé sa deuxième édition des Trophées de l’impact. Plus qu’une remise de prix, c’est d’abord une occasion d’illustrer par des témoignages forts les différentes facettes de l’impact dans la société. Avec de l'émotion, quand Olivier Goy explique comment la maladie de Charcot a bouleversé sa vie et... sa vision de la mort. Avec facétie, quand la chef d’orchestre Lucie Leguay démontre que diriger une formation symphonique ou une entreprise part d’un même point : l’humain. Avec psychologie, quand Meriem Salmi, la psy de Teddy Riner, explore l’intelligence émotionnelle.
Optimisme. Difficile aussi de ne pas rester optimistes face à l’inventivité des lauréats. Lisez les portraits de Timothée Boitouzet, l’alchimiste du bois, d’Hélène Huby, star du transport de marchandise dans l’espace, de Jean-Pierre Mahé, l’orthopédiste inclusif, de Jawaher Allala, qui réduit l’empreinte carbone des datas, Lydwine et Yann Bucaille, inventeurs des Café Joyeux, de Ghada Hatem, engagée auprès des femmes, ou de Pascal et Hugo Asselin, Adrien Pagès, des reforestateurs hors norme. C’est un régal...
Réflexion. Ces découvertes sont très appréciées des patrons également présents sur scène. Comme le DG de Saint-Gobain, Benoit Bazin, qui a remis le Grand prix de l’impact à Christopher Guérin, le DG de Nexans. Dans notre supplément, il écrit : « Face à l’urgence climatique, à l’épuisement des ressources naturelles, à la forte croissance démographique que nous observons dans certaines zones géographiques, toutes nos parties prenantes exigent une démonstration concrète de l’impact positif de l’entreprise sur le monde. » Les prochains Trophées sont déjà programmés : le 10 décembre 2024...
AH, UNE DERNIERE CHOSE! Dans Les Echos, le ministre du Travail rappelle que « la durée moyenne d’inscription à Pôle emploi d’un demandeur d’emploi senior est quasiment deux fois plus longue que pour les autres. » La faute, selon lui, à un retour à l’emploi plus difficile et à une durée d’indemnisation maximale plus longue. Olivier Dussopt attend des partenaires sociaux que « le déclenchement de la majoration de la durée maximale d’indemnisation soit déclaré de deux ans, à 57 ans. » Il tacle les ruptures conventionnelles, lorsqu’elles sont utilisées « pour les salariés de 58 ou 59 ans comme une forme de préretraite qui ne dit pas son nom. » A suivre..
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Bonne lecture !
Rémi Godeau
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