En Tunisie, à environ 600 km au sud de la capitale, dans un no man's land militaire qui sépare la Tunisie de la Libye, des centaines de migrants africains noirs ont été brutalement expulsés par les autorités tunisiennes, abandonnés à leur sort, dépourvus d'eau et de nourriture suffisantes. Peu avant, des propos xénophobes du président tunisien avaient déclenché une vague de violence sans précédent. Par Ahmed Abbes, Directeur de recherche au CNRS, et Federico Binda, Professeur à l’Université de Milan, Italie. |
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