« Plus nombreuses sont les caméras de surveillance, plus vides sont les chambres, les espaces et les couloirs, plus la rencontre avec le patient est empêchée, plus il est relégué ». A la suite de l'assassinat d'une infirmière et de la tentative d'une secrétaire médicale au CHU de Reims, l'association de familles, patients et soignants « Le Fil Conducteur Psy », membre du Printemps de la Psychiatrie, rappellent qu'en psychiatrie, les mesures sécuritaires ne sont ni sécurisantes, ni pertinentes. |
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