Translate

mercredi 3 mai 2023

Accès libre : Cybersurveillance, un impact planétaire - En accès libre sur Mediapart le 3.05.2023

 

La lettre nouveautés de Mediapart
 
En accès libre sur Mediapart
Les technologies de cybersurveillance sont de plus en plus discrètes, invasives, dangereuses pour nos droits. Des Etats les utilisent pour cibler des militants, des journalistes et d'autres membres de la société civile. Derrière ces attaques numériques, il y a des vies humaines. Le documentaire d’Amnesty International donne la parole aux victimes de logiciels espions, aux experts ainsi qu’aux journalistes qui ont révélé le plus gros scandale d’espionnage depuis l’affaire Snowden. 

Enquête sur le secteur opaque de la cybersurveillance, dont Mediapart a également été victime dans le cadre de l'espionnage Pegasus.
Notre journaliste Lénaïg Bredoux en témoigne dans ce documentaire, disponible en accès libre sur Mediapart.
Notre dossier sur le
« Le Projet Pegasus »
Forbidden Stories, Amnesty International et seize médias internationaux ont révélé avec « Le Projet Pegasus » un immense scandale d’espionnage, qui concerne au moins onze États à travers le monde, des milliers de personnes, et Mediapart – à travers deux journalistes surveillés pour le compte du Maroc.
 
Un documentaire d’Amnesty International revient sur l’extension de la cybersurveillance, deux ans après le scandale Pegasus, une vaste affaire mondiale d’espionnage opéré par une société privée israélienne pour le compte d’une dizaine d’États.
 
En 2019 et 2020, les téléphones portables de nos journalistes Lénaïg Bredoux et Edwy Plenel ont été infectés par le logiciel espion Pegasus, actionné par des services secrets marocains. Nous déposons plainte auprès du procureur de la République de Paris.
Par 
Dix jours après les premières révélations du « Projet Pegasus », Mediapart propose une soirée entièrement consacrée à cette vaste affaire d’espionnage de militants, journalistes et politiques à travers le monde. Nous recevons, entre autres, les représentants de Forbidden Stories.
 
Les révélations internationales sur l’usage par onze États du logiciel israélien « Pegasus » n’ont pas suscité de condamnation unanime de la classe politique française. Bien que la France soit visée, peu de voix se sont élevées pour réclamer des sanctions à l’égard des États mis en cause.
Par 
La société NSO affirme ne vendre son logiciel que dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. De nombreux rapports ont déjà prouvé sa présence dans les téléphones de journalistes ou opposants de nombreux pays.

 
15 jours pour 1€ seulement
Soutenez Mediapart
Mediapart le journal d'investigation 100% indépendant : zéro subventions, zéro actionnaire, zéro publicité. Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter !
Je teste 15 jours
À la fin des 15 jours, l'abonnement se poursuit à 12€/mois.
Résiliable en ligne à tout moment.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire