Quel rôle a joué « Big Pharma » dans la crise du Covid ?Chers amis, Depuis presque un an et demi le SARS-CoV-2 a mis sens dessus dessous les indépendants de la santé naturelle dont je fais partie. Nous avons dû lutter contre l’anxiété ambiante entretenue par les gouvernements. Et faire face à des médias grand public « suivistes », ayant abandonné tout esprit critique. Le résultat c’est que les pistes de traitement du Covid, pourtant nombreuses, sont passées à la trappe. Une lecture complémentaire et utileRappelez-vous, dès les tout premiers soubresauts du Covid en Europe en février-mars 2020, je vous ai : - alerté sur la fuite en avant que serait la recherche d’un vaccin contre un virus qui nécessairement allait changer de nature (les variants) ;
- parlé des promesses de l’artemisia annua contre la maladie en compagnie de la naturopathe Anne Portier ;
- encouragé à renforcer votre immunité par des moyens dont l’efficacité qui ont ensuite été reprises par les autorités de santé elles-mêmes comme la prise de vitamine D et de zinc ;
- mis en garde sur les graves conséquences de la peur et de l’enfermement (confinement) sur notre santé.
Un autre acteur indépendant de la santé naturelle a mené un combat comparable au mien, mais en choisissant une ligne différente : il s’est emparé du sujet de l’hydroxychloroquine. Il vient de publier, il y a quelques jours, un livre intitulé Big Pharma démasqué[1] qui reprend les grands axes de son parcours du combattant de l’information depuis plus d’un an. Si je n’ai pas toujours été d’accord sur tout avec son auteur Xavier Bazin, notamment sur les origines du virus, j’approuve son combat. Son livre jette une lumière complémentaire et intéressante sur la crise. De quoi l’hydroxychloroquine est-elle le signe ? Son auteur, donc, analyse la crise du coronavirus comme un grand révélateur des liens douteux, d’un point de vue démocratique et sanitaire, entre les pouvoirs publics et les intérêts privés des géants de l’industrie pharmaceutique. Je n’ai jamais, pour ma part, fait de la défense de l’hydroxychloroquine mon cheval de bataille. Il s’agit d’une molécule chimique et j’ai préféré regarder du côté des solutions naturelles. Toutefois, la « saga » de l’hydroxycholoroquine, revue en « 5 actes » par Xavier Bazin, révèle assez bien la logique cynique à l’œuvre dans cette affaire. Car bien que chimique, l’hydroxychloroquine avait pour « défaut » d’être… une molécule ancienne, c’est-à-dire : - facilement disponible,
- plus brevetable,
- peu chère,
- et donc peu rentable.
A l’inverse, le remdésivir a, lui été, « poussé » par le laboratoire Gilead. C’était un médicament beaucoup plus cher (2000 euros), toxique pour le rein… et dont l’inefficacité démontré n’a pas empêché l’UE d’en acheter pour un milliard d’euros ! La différence de traitement entre les deux molécules ne tient pas à leur efficacité mais à leur rentabilité. Le système Big PharmaA partir de ces cas – hydroxychloroquine et remdésivir –Bazin expose dans son livre tout le système souterrain de Big Pharma. Car « Big Pharma » c’est 500 milliards d’euros de chiffre d’affaire par an, dont l’essentiel est réparti entre une dizaine de sociétés. C’est 150 milliards d’euros investis par ces mêmes entreprises non pas dans la recherche… mais dans le marketing. Où va cet argent ? On sait déjà la mainmise dont disposent les grands laboratoires dans la recherche de nouvelles molécules (plus rentables car brevetables) – alors qu’il serait plus intelligent, d’un point de vue sanitaire, d’investir de l’argent dans la recherche de nouvelles applications de molécules déjà existantes. La démonstration de ce livre est documentée. Cet argent : - aurait financé des études « bidon » comme celle du Lancet ayant conclu à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine… avant que la supercherie de cette étude truquée n’éclate ;
- aurait servi à payer des médecins et des scientifiques ayant pignon sur rue, de prestigieux « influenceurs » qui promeuvent les produits chimiques des grandes firmes ;
- permettrait d’infuser chez les jeunes médecins la « culture Big Pharma » dès leur formation universitaire en leur inculquant le réflexe du médicament chimique.
Bazin va jusqu’à parler de « corruption » à propos de tout ce système, le bénéficiaire étant évidemment ces grands groupes pharmaceutiques. Malgré les scandales de la Dépakine, du Médiator ou de la pilule Diane 35, « des centaines de médicaments utiles et dangereux continuent d’être vendus »[2] : statines, médicaments contre Alzheimer, IPP… Le seul salut est citoyenNotre seule « erreur » en tant que citoyens et patients, est d’avoir laissé ce système non seulement s’enraciner dans notre société, mais devenir si agressif qu’il entrave notre droit à avoir accès à des solutions moins dangereuses, moins coûteuses et plus naturelles. En cela je partage le constat fait dans ce livre : - l’urgence de lever « l’omerta généralisée sur la prévention et les remèdes naturels efficaces» ;
- promouvoir la nécessité absolue de renforcer l’immunité de tout un chacun, non seulement contre le Covid, mais contre les autres pathologies, c’est-à-dire de financer la santé et non pas seulement la lutte contre les maladies ;
- le fait que nous sommes à la « croisée des chemins » en termes de pouvoir croissant que prend Big Pharma sur la société civile avec les vaccins anti-Covid.
Face à tout cela, notre seul salut est celui d’une prise de conscience de notre part à nous, citoyens et patients. Souhaitons-nous défendre notre droit à être maîtres de notre santé ? Ou bien accepterons-nous que celle-ci soit dictée par les intérêts d’industriels privés ? Portez-vous bien, Rodolphe Bacquet Annonce spéciale
Covid : ensemble, brisons la loi du silence ! Révélations de l'existence de 50 solutions naturelles pour lutter contre le virus dans cette vidéo non censurée.
Ces solutions sont toutes passées sous silence...
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[1] https://www.amazon.fr/Pharma-d%C3%A9masqu%C3%A9-chloroquine-vaccins-syst%C3%A8me/dp/2813224499 [2] Big Pharma démasqué, p.210 |
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