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Chère lectrice, cher lecteur,
Oui, c’est énervant, mais il y a des gens à qui tout semble réussir. Comme Patrick Aebischer. L’ancien patron starifié de l’EPFL est aujourd’hui investisseur dans des jeunes entreprises technologiques (venture capitalist, comme on dit). Avec son associé et ancien élève Aymeric Sallin, il a créé un fonds qui joue dans la cour des très grands – 200 millions pour commencer, 300 millions ensuite, des mises de 10 à 20 millions par start-up.
Au-delà des montants, le projet revêt une importance cruciale pour la région lémanique. Celle-ci ne manque pas d’entrepreneurs ou de bonnes idées, mais de financiers prêts à risquer leur argent dans des sociétés prometteuses. L’outil pour les fédérer existe désormais.
– Sylvain Besson, rédacteur en chef adjoint
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