Chère lectrice, cher lecteur,
Que se passe-t-il lorsque l’on passe d’un statut de chercheur à président de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, 10 000 étudiants, 6000 employés, près de 1 milliard de francs de budget? Le rythme de vie change et on apprend… la patience, répond Martin Vetterli.
Depuis le 2 janvier 2017, celui-ci succède au remuant Patrick Aebischer. Lourd héritage par temps de bourrasques avec l’UE, qui affectent aussi la science.
Dans le cadre d’une série d’hiver, nous avons écouté plusieurs personnes dont la vie a basculé l’année passée. Pour Martin Vetterli, le changement ne fut toutefois pas aussi radical, précise-t-il: auparavant, il présidait le Fonds national de la recherche scientifique, ce qui a fait office d’apprentissage. Ses propos racontent comment se forgent les carrières de patrons d’université, souvent au fil des occasions et des développements du paysage universitaire.
– Nicolas Dufour, journaliste, chef d'édition numérique
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