Samedi 1er avril, un an après le scandale des Panama Papers, 50 militants d’Attac et du DAL, membres du collectif « Nos droits contre leurs privilèges », ont symboliquement opacifié les vitrines de l’agence Société générale des Champs-Elysées pour dénoncer l’évasion fiscale pratiquée par la banque pour son propre compte et celui de ses clients. 35 d’entre eux ont été arrêtes et placés en garde à vue. Attac demande leur libération immédiate.
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