Grands discours, petites phrases, propositions chocs ou anecdotes… Chaque jour, jusqu'au 7 mai 2017, date du second tour de l'élection présidentielle, franceinfo résume ce qu'il ne faut pas rater de l'actualité de la campagne. Voici l'essentiel à retenir, jeudi 3 novembre.
#1La charge de Sarkozy sur Facebook
A moins de trois semaines du premier tour, Nicolas Sarkozy cherche à mobiliser le noyau dur de son électorat. L'ancien président publie mercredi soir sur Facebook une longue charge contre Alain Juppé, à qui il reproche son alliance avec François Bayrou et un programme trop timoré : "Je ne retrouve pas dans son programme la volonté de changement que l’on perçoit dans les projets des autres candidats."
#2L'exemplarité affichée par Macron
Emmanuel Macron va démissionner de la fonction publique à la fin du mois "par souci de cohérence et d'exemplarité". Dans un entretien accordé à Mediapart, l'ancien ministre de l'Economie, qui est actuellement inspecteur des finances, indique vouloir prendre ses responsabilités car il "mène une aventure qui nécessite une exemplarité au carré".
#3Les bons sondages de Juppé
A quelques heures du deuxième débat de la primaire à droite, Alain Juppé continue de sourire en consultant la courbe des sondages. Selon une enquête Elabe pour L'Opinion et BFMTV, le maire de Bordeaux est crédité, au premier tour, de 39% d'intentions de vote devant Nicolas Sarkozy (27%). Au second tour, l'ancien Premier ministre l'emporterait largement avec 61% des voix.
#4L'optimisme des sarkozystes
Nicolas Sarkozy est distancé dans les sondages, mais il croit toujours en sa bonne étoile, selon Le Parisien. "Il y a une montée en puissance, la mobilisation est en train de se faire", confirme à franceinfo le député sarkozyste Georges Fenech. L'ancien ministre Eric Woerth invite, de son côté, à se méfier des sondages, car "ce sont les gens les plus déterminés qui viendront voter".
#5La préférence de Poisson pour Trump
Jean-Frédéric Poisson continue à faire parler de lui. Lors de l'émission Questions d'info, le candidat à la primaire à droite a déclaré sa préférence pour Donald Trump contre Hillary Clinton dans la présidentielle américaine, pour défendre "les intérêts français et européens", car "l'interventionnisme sans limites de madame Clinton" est "un danger".
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Elections 2017
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