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mercredi 26 octobre 2016

Les dernières publications du Grand Soir - mercredi 26 octobre 2016



Les raisons d’un refus, la volonté d’un avenir

Paul Magnette
Après le débat en séance plénière au sujet du CETA et de la déclaration interprétative, qui s’est tenu au Parlement wallon ce vendredi 14 octobre, Paul Magnette a pris la parole en réponse. Le Ministre-Président du Gouvernement wallon a expliqué précisément ce qui animait le refus de donner les pleins pouvoirs au Gouvernement fédéral.
L’équipe de POUR a voulu lui donner un écho supplémentaire en reproduisant in extenso ce discours. Le fait est assez inhabituel pour en donner un mot d’explication. Nous n’avons aucun goût pour le culte de la personnalité et pas davantage pour les positions qui seraient strictement partisanes. Les propos tenus disent éminemment le sens de l’action politique et réhabilitent celle-ci aux yeux des citoyens.
Monsieur le Président, chers collègues, C’est pour notre Parlement et la Wallonie, un moment extrêmement important. Ce dont nous parlons, ici, ce n’est pas seulement d’un traité commercial entre l’Union européenne et le Canada. Ce dont nous parlons, ici, c’est de toute la philosophie des échanges commerciaux tels qu’ils se construiront pour les 10, 15, 20 ou peut-être 30 prochaines années. Cela tombe sur le traité CETA mais la discussion que nous avons, au-delà de toute l’amitié qui nous lie aux Canadiens, est dans le fond une discussion de principe, est une discussion évidemment politique et même, à certains égards, une discussion philosophique. Sur le sens même de ce qu’est le commerce et sur la manière dont il faut le mener. C’est pour cela qu’il y a dans ce débat tant de gravité. Je commencerai comme vous, Monsieur Jeholet, par vraiment me réjouir du fond du cœur de la qualité des débats que nous avons eus dans ce Parlement sur ces sujets et qui font que ces débats (...) Lire la suite »
Revue de presse et d’entretiens

La bataille de Mossoul ou la tromperie partagée par Washington et Ankara.

Mouna ALNO-NAKHAL
Le 3 octobre, lors d’une émission de décodage de l’hystérie occidentale devant l’avancée de l’Armée syrienne et de ses alliés dans Alep, le Général Amine Hoteit avait déclaré : « Si les États-Unis avaient le moindre espoir qu’Alep ne soit pas libérée des terroristes au minimum d’ici deux mois, ils auraient agi autrement. Mais force est de constater que la Syrie et ses alliés, notamment la Russie, en ont décidé autrement. D’où leur « plan C », initié à Deir ez-Zor, pour prendre la ville en otage et atteindre trois objectifs : Délimiter à l’est une région ouverte sur l’Irak pour l’isoler de la Syrie. C’est pourquoi ils empêchent la progression de l’Armée syrienne en détruisant les ponts, exactement comme Israël avait procédé au Liban lorsqu’il avait envahi le Sud, démolissant quatre ponts principaux afin de l’isoler du reste du pays en le transformant en zone désarmée, dépeuplée et sous tutelle de l’ONU.Réussir à « libérer Mossoul » selon le plan des USA et non selon celui des Irakiens. Autrement dit, à la manière turque (...) Lire la suite »

Pérou : « Il faut ouvrir un débat politique avec la population, mais à partir de ses propres réalités et de son propre langage »

Veronika Mendoza
Au Pérou, l’espoir populaire a désormais un visage. Veronika Mendoza, candidate à l´élection présidentielle de 2016 pour la plateforme politique de gauche, le Frente Amplio, nous livre son analyse de la politique de son pays, et des défis qui attendent le peuple péruvien dans sa quête de changement.
Romain Migus : Commençons par la « fiche technique ». Qui est Veronika Mendoza, d´où vient-elle et comment est-elle rentrée en politique ? Veronika Mendoza : Je suis née à Cuzco en 1980. J´ai suivi des études d´anthropologie en France, où je travaillais sur l´éducation bilingue interculturelle. J´ai travaillé avec des communautés paysannes de Cuzco pour trouver la meilleure façon de leur apprendre l´espagnol comme seconde langue, tout en respectant leur propre culture et leur langue maternelle, le quechua. Je suis en politique depuis 2009, j´ai été élue député pour la ville de Cuzco, et plus récemment j’ai été candidate à la présidence du Pérou. Comment tu évalues ton passage au Parlement ? Les différents gouvernements, au lieu d´écouter les citoyens et de résoudre leurs problèmes ont toujours préféré adopter la manière forte pour imposer leurs politiques. Cela a eu des conséquences tragiques. Il y a eu des blessés, et même des morts. J´ai été élue sous les couleurs du Parti Nationaliste Péruvien, et j´ai (...)Lire la suite »

Mélenchon est-il parti tout seul à la présidentielle ? Ou de l’amnésie collective.

Martine BILLARD *
Il est de bon ton dans les rangs du défunt Front de Gauche de se lamenter sur l’auto-proclamation de la candidature de Jean-Luc Mélenchon, le coup de force que cela aurait été, le fait qu’il serait parti tout seul sans attendre que les autres forces du Front de Gauche prennent position, etc.
Jacques Fortin parle même de « candidature imposée par une captation de voix et de notoriété qui « appartenaient » politiquement à la coalition « Front de Gauche » d’il y a cinq ans ». https://blogs.mediapart.fr/jacques-fortin/blog/141016/melenchonisation... Quelle drôle de caricature ! On peut lire aussi les commentaires à diverses notes de blog où des militants communistes accusent Jean-Luc Mélenchon de vouloir imposer son programme et exigent maintenant qu'on reparte de l'Humain d'abord. Mais qui l'a abandonné ? Mélenchon qui le propose comme ouvrage de référence sur son site jlm2017 (http://www.jlm2017.fr/le_projet). Ou P. Laurent qui a préféré faire un QCM ? L'Avenir en commun, programme de la France Insoumise a vu intervenir de nombreux contributeurs alors qu'en 2012 le programme avait été négocié entre des équipes restreintes du PCF, PG et Fase. Le problème n'est donc pas là. Le contenu ? Pour le moment aucune critique argumentée n'a été publiée, même si on peut se douter que la fermeture de (...) Lire la suite »
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Le Président Obama part, le blocus reste (Granma)

Josefina Vidal
Cette année-ci, vraisemblablement à cause de la modification des relations entre les deux pays et surtout des tentatives visibles de l’administration Obama d’ « amadouer » la jeunesse cubaine, cible, avec les travailleurs à leur compte, de son intervention au Grand Théâtre de La Havane le 22 mars dernier, la Révolution cubaine a tenu à la conscientiser davantage sur les effets du blocus et sur le fait que celui-ci se maintient pour l’essentiel. Le 17 octobre, donc, une journée a été organisée sur les réseaux sociaux (Tweeter, Facebook, etc.) autour d’une étiquette relative au blocus et permettant de « voter » contre les sanctions étasuniennes. Le clou de la journée a été celle organisée à l’Université de La Havane où un wifi public avait été installé, réunissant des milliers d’étudiants et de jeunes. Là, Josefina Vidal, directrice générale du département États-Unis au ministère cubain des Relations extérieures, s’est entretenu avec le public au sujet des relations avec le voisin du Nord et a répondu à ses questions. (...) Lire la suite »

« Organisez un référendum européen et vous verrez que les Wallons ne sont pas seuls »

Peter Mertens
Dans l’affaire de l’opposition de la Région wallonne à l’accord de libre-échange avec le Canada, le fameux CETA, nombre de commentateurs ont évoqué le rôle du PTB. Peter Mertens, président du parti de gauche, nous donne son point de vue sur la question.
Peter Mertens. « L'Union européenne s’était préparée pleine d’assurance à signer un accord de libre-échange avec le Canada. Bien que cet accord, le CETA, ait des conséquences extrêmes pour l'Europe, pour ses habitants et pour le climat, l'establishment européen n'avait pas vraiment l'intention de gaspiller beaucoup de salive pour parler de ce traité. Jusqu'au moment où le gouvernement wallon est venu tout gâcher. Il a quand même lancé le débat sur la question et, du coup, la presse internationale s'est précipitée vers Namur et Bruxelles. La Belgique se retrouvait dans l'œil du cyclone avec, aux premières loges, le ministre président socialiste Paul Magnette. Cette affaire est très révélatrice de la façon dont fonctionne l'Union européenne : on commencer par de longs mois de négociations secrètes pour, ensuite, imposer en un minimum de temps un accord qui esrt à prendre ou à laisser et, pour finir, exercer du chantage et des pressions politiques sur les récalcitrants. Quel débat de fond y a-t-il eu en Flandre (...) Lire la suite »
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Que se passera-t-il après la chute de Mossoul lorsque Daech fuira vers la Syrie ? (The Independent)

Robert FISK
Toute l’armée du califat de Daech pourrait être dirigée contre le gouvernement Assad et ses alliés - un scénario qui pourrait provoquer une certaine satisfaction à Washington
L'armée syrienne, le Hezbollah et ses alliés iraniens se préparent à une invasion massive par des milliers de combattants de Daech qui seront chassés de l'Irak lorsque Mossoul tombera. L'objectif réel derrière la "libération" de la ville irakienne planifiée par les Etats-Unis et tant claironné serait, selon l'armée syrienne, d'inonder la Syrie avec les hordes de combattants de Daech fuyant leur capitale irakienne pour leur « mini-capitale » de Raqqa à l'intérieur même de la Syrie. Depuis des semaines, les médias occidentaux, et les experts américains qu'ils aiment citer, prédisent une combat jusqu'à la mort de Daech à l'intérieur de Mossoul digne du siège de Stalingrad - ou une victoire rapide sur Daech suivie par des combats sectaires entre Irakiens pour le contrôle de la ville. L'ONU met en garde contre les colonnes massives de réfugiés qui se déverseront de la ville assiégée. Mais les Syriens - après avoir été témoins de l'effondrement soudain et l'évacuation de Palmyre lorsque leur propre armée a (...)Lire la suite »

Savoir voter ou voter sans savoir

Yann FIEVET
Le capitalisme, depuis longtemps hors d’haleine, cherche en permanence de nouvelles bouffées d’oxygène pour retrouver un temps de la vigueur. Ses principaux acteurs, les firmes transnationales, le font en se noyant dans de colossales opérations de concentration du capital telle la récente et monstrueuse fusion Bayer-Moncento. Les banques de rang international, quant à elles, réussissent plutôt bien à faire transformer leurs dettes privées en dettes publiques, moyen commode de transférer le fardeau pesant sur leurs actionnaires vers les épaules des contribuables impuissants. Le capitalisme étant réputé la seule voie possible vers le bonheur sur terre les Gouvernements unanimes s’ ‘entendent pour lui apporter le plus d’air possible : les Traités de libre-échange ont cette fonction de sauvetage avant même l’argument officiel de la création de Croissance qu’ils permettraient. Il en va ainsi des négociations entre l’Union Européenne d’une part et le Canada ou les Etats-Unis d’autre part. Et gare aux Etats qui (...) Lire la suite »

Pour la direction du Parti communiste français, les présidentielles sont perdues. Restent les législatives

Vladimir MARCIAC
A ce jour, j’ai publié quelques dizaines d’articles sur ce site. On y cherchera vainement la moindre pique contre le Parti communiste français. Et cela n’est pas un hasard. J’ai toujours considéré un effet que, chaque fois qu’on s’attaquait aux communistes, on retrouvait dans les entreprises des salariés de toutes obédiences avec les yeux au beurre noir.
Le fait que l’idéal communiste ait été bafoué, caricaturé, bureaucratisé, stalinisé dans les pays qui étaient en mesure d’en être les tremplins mondiaux ne permet pas de jeter le PCF (qui n’y est pour rien) comme on jetterait le bébé avec l’eau du bain. Les communistes ont beaucoup donné à la France En France, quoi qu’en disent ses détracteurs, le Parti communiste a un passé glorieux : il a beaucoup apporté en matière de lutte contre l’ennemi nazi, pour des conquêtes sociales, l’élargissement de la démocratie, le développement des valeurs humaines. C’est un constat banal de dire que ses militants sont animés par un moteur qui est celui de l’amour de leur prochain, de la justice, de l’égalité de la fraternité, de la paix. Naguère, ils ont subi la prison, la torture, ils ont versé leur sang par dizaines de milliers pour libérer leur pays de l’occupant et toujours, depuis sa création en 1920, ils ont subi la répression patronale en raison de leur engagement altruiste au service des travailleurs. Un certain Karl Marx (...) Lire la suite »
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Quand des scientifiques étasuniens tombent de la Lune… à Cuba

Jacques-François BONALDI
On trouvera ci-dessous un article tout récent d’une revue scientifique étasunienne. Il coïncide avec une des nouvelles mesures d’allègement du blocus adoptées par l’administration Obama le 14 octobre et entrées en vigueur hier : les sociétés étasuniennes ont maintenant le droit d’importer des médicaments cubains et de les commercialiser dans le pays une fois passés par les filtres de l’Agence chargée de les accepter. L’étonnement du docteur Lee et du rédacteur en chef de la revue prouve à mon avis deux points : l’incapacité de nombreux Étatsuniens, même scientifiques, à voir au-delà de leur petit pré, par ignorance ou par arrogance ; l’influence du blocus sur la divulgation aux USA des résultats du secteur scientifique cubain le plus brillant, entre autres, à titre de simple exemple, parce que les chercheurs cubains ne peuvent publier dans les nombreuses revues universitaires, scientifiques et savantes de ce pays, et parce que rares sont les scientifiques étasuniens qui osent venir participer aux très (...)Lire la suite »

Syrie : Texte intégral de l’entretien accordé par le Président Al-Assad au quotidien russe Komsomolskaïa Pravda

À de vraies questions, des réponses sincères, quoique douloureuses pour les Syriens et, sans doute, pour leur Président [NdT]. Mme Darya Aslamova : Merci beaucoup Monsieur le Président. C’est un grand bonheur pour moi, et je suis très fière. Je vais commencer par poser mes questions. QUESTION 1 : La situation en Syrie est devenue plus dangereuse et moins prévisible. Pourquoi ? Parce que ce conflit attire désormais plus de participants et plus de joueurs. Par exemple, qui voyons-nous maintenant participer à cette guerre en Syrie ? L’Iran, le Liban - je veux dire le Hezbollah- la Russie, la Turquie, l’énorme coalition du côté des États-Unis, la Chine qui montre de l'intérêt. Avez-vous quelque inquiétude que ce conflit ne se transforme en une troisième guerre mondiale à moins qu’elle ne soit, peut-être, déjà commencé ? Le Président Al-Assad : Parler de ce problème implique de parler du fond et de la source, et c’est le terrorisme. Peu importe qui intervient, le plus important est qui soutient ces terroristes (...)Lire la suite »

La nouvelle méthode étasunienne de faire la guerre

Moon of Alabama
Un article intéressant du New York Times se penche sur la façon secrète dont les États-Unis font désormais, le plus souvent, la guerre. Il prend comme exemple la Somalie, où les États-Unis sont en guerre contre le peuple de ce pays depuis plus de 25 ans. Mais, comme le notent les auteurs, le même modus operandi est utilisé ailleurs. L'administration Obama a intensifié la guerre clandestine en Somalie au cours de l'année dernière, en utilisant des troupes d'opérations spéciales, des frappes aériennes, des firmes privées et des alliés africains dans sa campagne de plus en plus violente contre les militants islamistes dans la nation anarchique de la Corne de l'Afrique. La nation « anarchique » de Somalie continuerait-elle d’être « anarchique » si les Etats-Unis cessaient leur interminable guerre contre elle ? C’est très peu probable. Sans interférence extérieure la Somalie serait redevenue pacifique depuis longtemps. Mais la guerre continue. Elle n’est pas menée par des forces régulières américaines, mais (...)Lire la suite »

Vont-ils réellement tenter d’assassiner le président Duterte ? (New Eastern Outlook)

Andre VLTCHEK
A l'heure qu'il est, Rodrigo Duterte, le Président des Philippines au franc-parler, fait très probablement partie de la liste noire occulte, prestigieuse et permanente de l'Empire. La liste est très longue et l'est depuis déjà plusieurs décennies. On pourrait facilement perdre le compte et s’embrouiller : combien de personnalités ont été marquées et secrètement condamnées à mort ? Combien sont effectivement mortes ? La liste se lit comme un catalogue de leaders mondiaux illustres : de Patrice Lumumba (Zaïre), Mohammad Mossadegh (Iran), Hugo Chavez (Venezuela), Sukarno (Indonésie), Juvénal Habyarimana (Rwanda), Salvador Allende (Chili) à Mouammar Kadhafi (Libye ), Al-Basheer (Soudan) et Fidel Castro (Cuba), pour ne citer que quelques-uns. Certains ont été directement assassinés ; d'autres ont été « seulement » renversés, tandis que seule une poignée de « listés » ont effectivement réussi à survivre et rester au pouvoir. Presque tous avaient commis des crimes graves et de nature similaire, dont : défendre (...) Lire la suite »

Les alliés des Etats-Unis financent l’Etat Islamique - et Hillary Clinton l’a toujours su. (Counterpunch)

Patrick COCKBURN
C'est une chance pour l'Arabie Saoudite et le Qatar que l'agitation autour des frasques sexuelles de Donald Trump détourne l'attention des dernières révélations sur les emails de Hillary Clinton. Le plus fascinant est celui qui paraît être une note interne du Département d'Etat, datée du 17 août 2014, au sujet d'une riposte appropriée des Etats-Unis à l'EI dont les forces avançaient rapidement à travers le nord de l'Irak et l'est de la Syrie. A l'époque, le gouvernement US ne reconnaissait pas que l'Arabie Saoudite et ses alliés sunnites soutenaient des mouvements de type Etat Islamique et Al-Qaeda. Mais la note publiée, qui dit s'appuyer sur « des services de renseignement occidentaux, des services de renseignement étatsuniens et des sources dans la région », ne laisse planer aucun doute sur les soutiens de l'Etat Islamique qui à l'époque massacrait et violait la minorité Yazadi et massacrait les soldats capturés Irakiens et Syriens. La note précise : « Nous devons recourir à nos moyens (...) Lire la suite »

Le testament « politique » d’Obama au sujet de Cuba

Jacques-François BONALDI
Ainsi donc, Obama tient à laisser à la postérité ses instructions sur l’avenir des relations entre son pays et la Révolution cubaine. Ici, on a signalé aussitôt que c’est la deuxième fois qu’un président étasunien en poste a tenu à le faire, le premier ayant été Carter, qui lui aussi avait fait avancer les choses en la matière (ouverture réciproque de Sections des intérêts dans chaque capitale), mais dont le « testament » du 15 mars 1977 resta document secret jusqu’en 2002. (http://nsarchive.gwu.edu/news/20020515/) Obama, lui, veut que ça se sache quand il lui reste à peine trois petits mois à la Maison-Blanche. On trouvera ci-après sa Directive en français. Je ne vais pas l’éplucher ni l’analyser par le menu. Il n’y a rien là de bien nouveau : les tenants et les aboutissants en sont les mêmes… Je tiens simplement à souligner à quel point les longueurs d’ondes de Washington et de La Havane ne se causeront jamais d’interférences ni de parasites mutuels. Je m’explique. Le « testament » d’Obama, comme l’indique le (...) Lire la suite »

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