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dimanche 26 juin 2016

HISTOIRE & MEMOIRE :De quoi est réellement mort Staline...

HISTOIRE & MEMOIRE

De quoi est réellement mort Staline, et pourquoi ses collaborateurs ont-ils attendu plus de 10 heures pour appeler les médecins ?

26 juin 2016
De quoi est réellement mort Staline, et pourquoi ses collaborateurs ont-ils attendu plus de 10 heures pour appeler les médecins ?

Zola a-t-il été assassiné ? Robespierre s'est-il suicidé ? Comment Agnès Sorel a-t-elle trouvé la mort ? Complots, manigances, meurtres... Nombreuses dans l'Histoire sont les morts mystérieuses. Dans cet ouvrage, une quinzaine de cas exemplaires font l'objet d'une enquête inédite dont le récit alerte nous tient en haleine. L'auteur nous transmet ainsi avec pédagogie l'état de la recherche historique sur ces obscurs dossiers dont le mystère défie la raison. Extrait de "Les morts mystérieuses de l'histoire", de Michel Benoit, aux éditions Eyrolles (2/2).
La nouvelle parcourt le monde comme une traînée de poudre en ce 6 mars 1953 : Staline, le "guide soviétique", le "petit père des peuples" pour les uns, le "dictateur" et le "tyran sanguinaire" pour les autres, vient officiellement de succomber à une hémorragie cérébrale...
C’est dans sa datcha des environs de Moscou que Staline avait réuni les plus hauts membres du bureau politique du Parti communiste. Parmi eux, Beria et Nikita Khrouchtchev. Le lendemain, Staline demeurant toujours dans sa chambre, les employés de service et les gardes du corps s’interrogèrent toute l’après-midi sur l’absence du "grand guide". Contrairement à ses habitudes, Staline n’avait pas demandé à ce qu’on lui serve son repas. Aucun appel, aucune demande provenant de ses appartements. L’un des gardes du corps se décida alors à enfreindre le règlement et pénétra dans la chambre du "père des peuples". La pendule sonnait vingt-trois heures en ce 1er mars.
Quelle ne fut pas la surprise de l’homme de sécurité lorsqu’il vit Staline, allongé au sol, sa chemise et son pantalon trempés d’urine, articulant des mots inaudibles et incapable de se relever, tendre la main comme pour demander du secours. Les gardes du corps le levèrent avec soin et le déposèrent avec précaution sur un canapé. Les hauts dignitaires, prévenus, se rendirent à la (...)lire la suite sur Atlantico

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