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jeudi 23 janvier 2014

L'ECONOMIE à MI-JOURNÉE , jeudi 23 janvier 2014


  L'ECONOMIE à MI-JOURNÉE , jeudi 23 janvier 2014

                                                             (Sources le MONDE )

Toyota reste n° 1 mondial, près de 10 millions d'autos vendues
Le constructeur d'automobiles japonais Toyota est resté le numéro un mondial du secteur en vendant 9,98 millions de véhicules en 2013, soit 2 % de plus qu'en 2012, et pense dépasser les 10 millions cette année, a-t-il annoncé jeudi. Le géant basé à Nagoya (centre du Japon) a accompli cette performance en s'appuyant sur l'ensemble de ses marques (Toyota, minivéhicules Daihatsu, poids lourds Hino et voitures de luxe Lexus). Il a dépassé d'une courte tête ses concurrents américain General Motors (9,7 millions de véhicules écoulés) et allemand Volkswagen (9,5 millions). L'année dernière, Toyota avait vu ses ventes progresser de 7 % aux Etats-Unis (2,24 millions de véhicules), où la plupart des constructeurs ont bénéficié d'une meilleure conjoncture. Toyota semble y avoir tourné la page d'une vague de rappels massifs de véhicules causée par des défauts techniques et qui avait écorné son image de fiabilité au début 2010. Toyota a écoulé en outre 9 % de voitures en plus en Chine (917 000), parvenant à surmonter les conséquences d'un conflit diplomatique sino-nippon qui a fortement entravé les ventes des constructeurs japonais à la fin 2012 et au début 2013 dans le premier marché mondial du secteur. Le fabricant de la Yaris a même légèrement augmenté (1 %) ses ventes en Europe (848 000), où le marché de l'automobile a pourtant continué de souffrir des conséquences de la cure d'austérité destinée à remédier à la crise de la dette en zone euro. Sur son marché le plus important, celui du Japon, ses ventes ont en revanche fléchi de 5 % à 2,30 millions d'unités.
Toyota avait perdu sa première place mondiale en 2011 au profit de General Motors à cause du séisme et du tsunami du 11 mars de la même année dans le nord-est du Japon, qui avait quasiment paralysé sa production, mais le groupe nippon l'avait reprise dès 2012. Il avait auparavant pris la tête du classement pour la toute première fois au début de la crise financière internationale en 2008, aux dépens de General Motors qui l'avait monopolisée auparavant pendant plus de soixante-dix ans.
Mory Ducros : Arcole présente son offre
Le principal actionnaire de Mory Ducros, Arcole Industries, a présenté une offre améliorée de reprise, prévoyant de garder 2 150 salariés (contre 1 900 auparavant) et de verser 7 000 euros d'indemnités supralégales par salarié non repris, ont indiqué à l'AFP plusieurs syndicats, à l'issue de plus de huit heures de négociations à Bercy. Le contenu précis de l'offre de reprise d'Arcole Industries est présenté jeudi matin au comité central d'entreprise du groupe, qui emploie plus de 5 000 salariés. Outre le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, participaient aussi à la réunion les cabinets des ministères du transport et de l'emploi, ainsi que l'administrateur judiciaire.
Le tribunal de commerce de Cergy-Pontoise doit se prononcer le 31 janvier sur l'offre d'Arcole, et les trois autres projets plus partiels de reprise. Numéro deux français du transport de messagerie, Mory Ducros a perdu 79,5 millions d'euros lors de son dernier exercice pour un chiffre d'affaires de 765,5 millions et sa dette d'exploitation s'élève à 202,7 millions d'euros.
La zone euro en croissance en janvier, sauf en France
Le secteur privé de la zone euro a débuté 2014 sur un rythme plus élevé que prévu, avec pour seul point noir la France qui reste en contraction en janvier pour le troisième mois consécutif,selon l'enquête mensuelle de Markit publiée jeudi.
L'indice PMI composite, établi à partir des réponses de milliers d'entreprises de la zone euro et considéré comme un bon baromètre de l'activité, a atteint 53,2 dans sa version préliminaire de janvier contre 52,1 en décembre, dépassant le consensus établi par Reuters qui était de 52,4. À son plus haut depuis la mi-2011, il s'inscrit ainsi pour le septième mois consécutif au-dessus de la barre de 50 à partir de laquelle il rend compte d'une croissance. "La reprise de l'Eurozone continue de s'intensifier en janvier. La hausse de l'indice PMI permet de miser sur une croissance du PIB de la région de l'ordre de 0,4% à 0,5 % au premier trimestre", a déclaré Chris Williamson, chef économiste à Markit.
Pour autant, les indices préliminaires de Markit montrent que si la croissance accélère en Allemagne, à l'instar des pays dits de la périphérie, l'activité continue de se contracter en France, même à un rythme moindre et plus modéré que prévu. L'indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise des principaux secteurs d'activité, est stable, à 94, sous sa moyenne de longue période (100), selon l'Insee.
Chine : contraction de la production manufacturière
La production manufacturière en Chine s'est contractée en janvier, atteignant son plus bas niveau en six mois, selon un indicateur provisoire publié jeudi par la banque HSBC. L'indice PMI des directeurs d'achats calculé par HSBC dans la deuxième économie mondiale se monte à 49,6 en janvier, après 50,5 en décembre. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l'activité manufacturière, tandis qu'un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.
Cette détérioration "s'explique principalement par un ralentissement sur le plan de la demande intérieure", a commenté Qu Hongbin, économiste de HSBC. Il s'agit de la première contraction du secteur manufacturier chinois depuis six mois. 
TEXTOS
Espagne : le chômage est reparti à la hausse au dernier trimestre 2013, à
26,03 %, après deux trimestres de baisse, et reste le principal point noir de l'économie du pays qui vient de renouer avec une faible croissance.
A la fin décembre 2013, l'Espagne a enregistré 5 896 300 chômeurs, soit 8 400 de moins qu'au trimestre précédent, la population active ayant elle aussi baissé, selon les chiffres publiés jeudi par l'Institut national de la statistique 
Sinistres : la tempête qui a frappé la Bretagne en décembre a engendré des dégâts dont le coût s'élève à 100 millions d'euros environ, a indiqué jeudi à l'AFP la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA).
Asie : la Corée du Sud a affiché une croissance économique de 0,9 % au dernier trimestre 2013 par rapport aux trois mois précédents et de 3,9 % sur un an,a annoncé jeudi la Banque centrale de Corée. Ces chiffres marquent une décélération sur le trimestre.
Fiscalité : le ministre du travail, Michel Sapin, a estimé jeudi qu'une baisse des impôts des ménages ne pourrait intervenir en 2015 que "si la croissance est plus forte que prévu" et a appelé "à faire les choses dans l'ordre".
Informatique : le groupe chinois Lenovo va racheter les serveurs d'entrée de gamme du groupe IBM pour quelque 2,3 milliards de dollars, dont 2,07 milliards en numéraire et le reste en actions, a-t-il indiqué jeudi dans un communiqué à la Bourse de Hongkong où il est coté. Mais l'opération entre IBM et Lenovo doit encore recevoir le feu vert des autorités américaines.
Plastic Omnium :l'équipementier automobile a enregistré un chiffre d'affaires 2013 en hausse de 6,6 % par rapport à 2012, tiré en particulier par l'Europe de l'Ouest (hors France) et l'Amérique du Nord. 
Etats-Unis : le Trésor a de nouveau pressé mercredi le Congrès de relever le plafond de la dette, estimant n'avoir de quoi remplir ses
obligations financières que jusqu'à fin février.
ÉTUDES
PERSPECTIVES
Perspectives de l'économie mondiale
Source : FMI.
FRANCE (1)
Les perspectives de financement à moyen-long terme des régimes de protection sociale
Source : Haut Conseil du financement de la protection sociale.
INTERNATIONAL
Caraïbes et Amérique centrale : au carrefour des marchés d'avenir
Source : Sénat.
FRANCE (2)
France : l'opposition industrie-services
Source : Natixis.

"La valeur ajoutée générée par ces investissements est de 57,8 milliards d'euros, ce qui place la culture à 3,2 % du PIB (français)"
Déclaration de la ministre de la culture, Aurélie Filippetti, qui affirme vouloir "changer le regard que l'on porte sur la culture", qui est "un élément de croissance" et "pas seulement une dépense", dans un entretien à Libération jeudi. La culture est"un investissement productif", insiste-t-elle en s'appuyant sur un rapport des inspections respectives des ministères de l'économie et de la culture. Elle ajoute que "la première source de création de richesse est le spectacle vivant, qui reçoit 830 millions d'euros de soutien public et génère 8,8 milliards d'euros de valeur ajoutée".
Pour la ministre, qui va présenter en 2014 deux lois sur la création et le patrimoine, "cela montre amplement l'impact positif des investissements dans la culture, impact démultiplié d'ailleurs dans les zones rurales". Elle conteste par ailleurs tout désengagement de l'Etat et assure qu'il "n'y aura pas de transfert de compétence" vers les collectivités territoriales, soulignant que "l'Etat
et les collectivités se partagent déjà la compétence culturelle".

CAC 40

12:11 23/01/20144 328,75 + 0,09 %
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PALMARES CAC 40
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 SOCIETE GENERALE  45,125  + 1,11 % 
 VEOLIA ENVIRONNEMENT  12,495  + 1,05 % 
 BOUYGUES  29,040  - 1,06 % 
 CARREFOUR  26,445  - 1,42 % 
 ALSTOM  22,745  - 2,55 % 
 AIRBUS GROUP (EX-EADS)  55,440  - 2,91 % 
 DEXIA  0,040  - 20,00 % 
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VALEUR DU JOUR

Plastic Omnium

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 OR  16h44  1 241,00  + 0,24 % 
INDICES
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 CAC 40  12h11  4 328,75  + 0,09 % 
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Banques : et maintenant, des frais de conversion au SEPA…

L'imagination des banques, lorsqu'il s'agit d'inventer de nouveaux frais, n'a pas de limites.
Nous l'avions constaté en 2000 avec l'apparition de "frais de conversion de francs en euros".
Maintenant, certaines d'entres elles viennent de mettre en place des frais d'information sur le passage au SEPA, comme le relève l'UFC Que Choisir, dans une étude du 21 janvier.

Le SEPA, « single euro payment area », ou espace unique de paiement en euros, vise à harmoniser les paiements par carte bancaire, par virement et par prélèvement, entre ses pays-membres - au nombre de trente-trois actuellement – et à faire des économies d'échelle.

Grâce au SEPA, le consommateur français qui vire de l'argent en Lettonie ou en Norvège ne paie pas plus cher que s'il l'expédiait en France ; l'envoi n'est pas plus lent que de Paris à Lyon. « Le SEPA permet des paiements plus rapides et à moindre coût », a récemment rappelé Michel Barnier, commissaire européen au marché intérieur et aux services.

Le règlement qui fixe les exigences de cette harmonisation – prévue désormais pour le 1er août – interdit que les banques facturent aux consommateurs des frais pour la conversion de leurs anciens prélèvements (article 16, précise la Commission).

Or, l'UFC constate que certaines d'entre elles envisagent de le faire, au motif qu'un ancien prélèvement, en place depuis des années, serait un nouveau prélèvement au regard du SEPA, dont il faudrait faire payer la "mise en place".
D'autres contournent la loi en facturant des "frais d'information sur le passage d'un nouveau prélèvement SEPA", qui peuvent prendre la forme d'un courrier facturé entre 4 et 8,95 euros, et, plus rarement, de SMS.
Vous pouvez demander à votre banque le remboursement intégral de ces frais, indique l'UFC...

Lu sur SOS Conso
TITRES DE L'ÉCONOMIE
Les Echos : Dépenses : l'heure de vérité pour Hollande
Le Figaro économie : Baisse des impôts. Le grand flou
The Wall Street Journal : Ukraine : affrontements mortels à Kiev
Financial Times : Microsoft offre la possibilité de stocker ses données à l'étranger 

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