PREMIERE DAME - La page est tournée. En annonçant en personne sa séparation d'avec Valérie Trierweiler ce samedi 25 janvier, François Hollande n'a pas seulement mis fin au feuilleton politico-sentimental ouvert bien malgré lui par les "révélations" de Closer. Comme le réclamaient plusieurs proches de la majorité, le chef de l'Etat a du même coup tiré un trait -semble-t-il définitif- sur le statut officieux de première dame.
D'une nature pudique, l'ancien compagnon de Ségolène Royal s'était juré de ne plus jamais laisser sa vie privée empiéter sur ses responsabilités politiques. "Moi président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit en chaque instant exemplaire", avait-il promis lors de son débat d'entre-deux-tours, dans une allusion aux soubresauts de la vie privée de son adversaire. "Les affaires privées se traitent en privé", avait-il menacé après le scandale du tweet de Valérie Trierweiler.
L'époque, l'évolution de la fonction présidentielle et une presse toujours plus avide de sensationnalisme lui ont démontré que cette promesse ne dépendait plus de lui.
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Une annonce "personnelle" et unilatérale lourde de sens
"Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler", a donc déclaré François Hollande à l'Agence France Presse. Déclaration unilatérale et émise "à titre personnel", comme si cela ne concernait en rien ses fonctions présidentielles....
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