Monti veut gouverner l’Italie hors de « l’axe traditionnel droite-gauche » en se centrant sur l’Europe et l’austérité
Mario Monti a déclaré, qu’il avait accepté d’être le « chef d’une coalition » centriste et réformatrice qui sera en lice pour diriger l’Italie. Il certifie avoir reçu « un soutien ample et crédible » à son programme, notamment du centre de réflexion Italia Futura du patron de Ferrari Luca di Montezemolo et d’autres « représentants de la société civile », ainsi que des ex-chrétiens démocrates de l’UDC, des formations centristes comme Futur et Liberté. Le Vatican lui a également apporté son soutien.
Le 23 décembre, à la télévision, Mario Monti avait présenté son programme, intitulé « Changer l’Italie et réformer l’Europe ». « L’agenda Monti » prévoit un ancrage fort en Europe et des libéralisations, poursuivant ainsi la politique du gouvernement qu’il préside depuis novembre 2011, avec une politique de rigueur visant à payer la dette du pays qui dépasse les 2 000 milliards d’euros et à réduire le déficit public.
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