samedi 12 janvier 2013

Le viol a une fonction


Le viol a une fonction

La même petite partie de moi qui veut encore croire à l’existence des fées voulait croire que je pouvais éviter de penser au viol ou d’écrire à ce sujet pendant au moins quelques semaines. Mais c’est impossible. Pas quand les lois californiennes affirment que les femmes célibataires ne peuvent en aucune façon être violées (1), et quand le viol collectif, durant toute une nuit, d’une adolescente inconsciente de 16 ans par de jeunes sportifs a pour effet de « diviser » (2) une communauté dévouée à son équipe de football. Certainement pas lorsque les détails qui se multiplient au sujet du meurtre d’une jeune femme de 23 ans à Delhi, violée, empalée jusqu’à l’éviscération et à de multiples blessures internes, suscitent des réactions d’indignation partout dans le monde (3).
Où que vous viviez dans le monde, le résultat d’un viol – qu’il s’agisse d’un « viol lors d’une fréquentation », d’un « viol collectif », ou d’un viol qualifié de « viol facile », de « viol d’urgence », ou de « viol de guerre » – est le même : l’oppression...
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