Trois femmes kurdes ont été retrouvées mortes à Paris, dans la nuit de mercredi 9 à jeudi 10 janvier, tuées chacune d'une balle dans la tête. L'une d'entre elles est présentée comme une cofondatrice du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Toutes trois étaient des activistes au sein de cette organisation qui milite pour l'autonomie du Kurdistan en Turquie. Le PKK, considéré comme terroriste, est interdit par Ankara, la capitale turque.
Leurs corps ont été découverts peu avant 2 heures du matin, dans les locaux du centre d'information du Kurdistan à Paris, situé rue Lafayette, dans le 10e arrondissement de la capitale, à côté de l'Institut kurde de Paris. Cette affaire intervient au lendemain d'un accord entre les autorités turques et le chef emprisonné du PKK, Abdullah Öcalan, sur le principe d'un arrêt des hostilités, qui durent depuis 1984....
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