Le volontarisme historique et politique autour de l’éducation aux images remet au centre du jeu une figure un peu totémique : le cinéphile, sorte de spectateur idéal, objet de toutes nos attentions, destinataire de nos dispositifs de promotion du cinéma indépendant. Problème : qui est-il ce cinéphile de demain ? Est-ce le spectateur-type des salles Art et Essai, guidé par la presse spécialisée et la radio ? Ou bien choisit-il les films qu’il regarde, pas forcément en salle, en s’informant via d’autres sources, réseaux (voire algorithmes) ? Y a-t-il un « vieux » et un « jeune » cinéphile aux p… |
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